1. Adeline petite soeur (7)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... cette balade au bord de l’eau calme, limpide fut tout simplement des plus romantiques. Étonnamment, la plage était déserte, pas âme qui vive, rien ni personne. Je tenais Adeline tout contre moi, la main posée sur son épaule et l’autre croisant nos doigts dans notre dos. J’avais déjà été amoureux, je m’étais déjà promené de cette façon, mais je n’avais jamais eu cette sensation de plénitude, d’un bonheur si parfait qu’on aurait pu se demander s’il en exista autre ailleurs. M’arrêtant soudain avec une irrépressible envie d’embrasser ce trésor qui illuminait ma vie, je posais un petit baiser sur ses lèvres l’entourant de mes grands bras. Un baiser langoureux s’en suivit alors qu’elle mit les siens autour de mon cou avant de me dire : « Fais-moi l’amour comme la première fois grand frère. » Elle ne m’avait plus appelé de cette façon depuis bien longtemps mais cela ne changea rien à la situation. Je retirais mon tee-shirt, et l’effeuillais à son tour délicatement. Une fois nus, nous nous allongeâmes sur le sable dont la texture fraîche donna quelques frissons à Adeline. Je n’eus pas l’indélicatesse de tenter un rappel de mes souvenirs sur cette première fois, sur cette soirée où elle m’avait donné le plus précieux cadeau du monde qu’est celui d’une femme vierge, fait don de ce trésor si convoité dont j’avais été le plus heureux des conquérants. Mon sexe entra en elle doucement, et chacun de mes gestes fut reproduit en parfaite harmonie avec chacun des mouvements de son corps. ...
    ... Sans rien forcer à l’acte en lui-même, nous revivions une seconde première fois ensemble. Là encore, le monde aurait pu disparaître, nous pouvions mourir heureux. (Fort heureusement ce ne fut pas le cas). Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin comme dit ce proverbe si paradoxal dans ses termes, et s’il nous fallut quitter cette plage, nous fûmes forcés de mettre fin à notre séjour et de rentrer chez nous, laissant dans le sillage du train nombre de souvenirs aussi beaux qu’intenses. Adeline versa quelques larmes le temps que la mer disparût de notre vision, mais je lui promis que nous reviendrions un jour pour nous en créer de nouveaux. Deux heures que nous étions partis. Notre mère était prévenue de notre arrivée et trépignait d’impatience. Elle m’envoyait des messages toutes les dix minutes pour savoir où nous en étions de notre voyage, si tout allait bien. J’avoue que malgré toute l’affection que j’avais pour elle, je commençais à saturer. Adeline sentit bien qu’il fallait calmer les choses et me reparla de quelques soirées vécues, de moments chauds, tant et si bien qu’elle parvint à se mettre le feu elle-même. Elle attrapa ma main et me dit le plus discrètement possible : « j’ai envie de toi. » Mais où aller ? Elle pouvait être surprenante parfois, mais dans un train, il n’y avait aucun lieu autre que les toilettes, et cela n’avait rien de glamour du tout. Elle en prit donc le chemin et me demanda de la rejoindre cinq minutes après en frappant un gros coup sur la porte. ...