1. Banquière perverse (27)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’odeur sauvage. Je ne sais pas si c’est l’excitation mais j’aime bien le toucher, prendre ce mandrin que mes deux mains, qui misent bout à bout, ne suffisent pas à le recouvrir. Je lui palpe les couilles et quelles paires de couilles ! Si gonflées, énormes ; l’expression :« Monté comme un taureau ! »Prends là tout son sens, presque irréelle, dans un moment je vais me laisser prendre devant ma chérie par ce monstre. — Tu es bon, mec ! Je vais te baiser le cul, je vais t’exploser l’anus ; je vais te posséder !m’informe notre black. — Je sais mec ! Et surtout prends ton pied, viens ; je suis prêt ! Joignant le geste à la parole, je me place à genoux sur l’assise du canapé, les mains en appuis sur le dossier ; je me cambre et présente mon cul à mon enculeur. Des doigts touchent mon anneau, ils sont fins, graisseux et entre en moi ; c’est Gladice qui me graisse le fion et le pourtour. Je sais que le moment arrive, je me prépare car je sais que je vais avoir mal ; je suis anxieux et j’ai peur ; intérieurement je me motive : «Allez mec, courage c’est pour elle que tu le fais, par amour, et puis tu vas aimer ; je te le jure ! » Le gland en appuis sur mon rectum me ramène à la réalité. Le black me prend par la taille, me cramponne comme si j’étais un animal ; je ne peux plus bouger. Il commence à forcer mon entrée qui s’écarte doucement, la sensation n’est pas vraiment désagréable ; la pression augmente et je ressens une légère douleur. L’homme m’agrippe la taille très fortement ...
    ... et son engin s’enfonce en moi, la douleur est vive. Je transpire à grosses gouttes qui perlent sur mon front. J’ai envie de crier, qu’il arrête ; mais le gland force encore et franchit mon rectum. Cette fois, mon trou explose ; j’ai la sensation de m’ouvrir en deux, ça fait mal, très mal, des sueurs froides m’envahissent. Je transpire à grosses gouttes, mon trou du cul me fait mal ; j’ai envie de m’enfuir. Mais comment pourrais-je le faire ? Avec cet énergumène qui me tient, son gourdin planté dans mon cul comme «Excalibur» plantée dans le rocher ; et si, il ne pouvait lui non plus la ressortir de mon trou. Je ne bande plus ! Une main me saisit la bite, je reconnais celle de Gladice qui commence un mouvement de va-et-vient ; l’énorme bite avance inexorablement et envahi mon boyau. Paradoxalement, cette douleur se transforme peu à peu en plaisir et je commence à apprécier. J’ai l’impression que tout bouge en moi, c’est très étrange comme sensation. Je tourne la tête vers ma Chérie qui me renvois l’expression de quelqu’un qui s’amuse de ma situation ; un sentiment extrêmement bizarre parcourt mon esprit. Tout se brouille dans ma tête, j’ai à la fois honte de tout cela : je me fais tout simplement enculer devant ma chérie, et je me sens soumis à elle et au black. C’est comme si je devenais, au fur et à mesure que cette bite s’enfonce en moi, sa chose, son esclave sexuel. Je sais qu’à partir de maintenant elle pourra me demander n’importe quoi et je le ferai. Il y a aussi cette ...
«1...345...»