COMPARAISON
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
A dormir debout,
... écartant de ses mains les lèvres de son sexe elle dit à sa partenaire : - Viens je veux que tu me donnes du plaisir, comme je t'en ai donné ! Avec un homme le plaisir peut exister. Certes il n'est pas désagréable de sentir un membre dure envahir notre vagin, le masser avec les muscles vaginaux que pour ma part je sais fort bien contrôler. En revanche les préliminaires, si plaisants et sans lesquels l'orgasme est incomplet son souvent bâclés. L'orgasme masculin est brutal et se résume bien souvent à l'éjaculation tirée en rafale, au mieux en deux ou trois salves. Ne dit-on pas d'ailleurs "tirer un coup"? Il est tout de même rare que les hommes soient les maîtres du cunnilingus, même si des exceptions existent. Les hommes aiment faire fonctionner leur sexe comme des marteaux piqueurs qui semblent vouloir forer, le plus rapidement possible notre fragile grotte. Peu nombreux sont ceux qui ont su être à profit les conseils de leur partenaire. Cela se résume trop souvent à des caresses buccales qui s'apparentent d'avantage à une langue puissante et ferme qui tel le soc d'une charrue vient labourer notre jolie fente. Dans d'autres cas leur langue est bien étalée et remonte de bas en haut, de notre périnée à notre clitoris, telle une râpe à agrumes voulant extraire le zeste d'une orange pour en parfumer une mousse au chocolat. Or notre cyprine, si elle veut bien couler après un tel traitement, a par elle-même un goût suffisamment suave pour ne pas avoir besoin d'adjuvant. Rien n'y ...
... fait, il faut au plus vite tirer la salve de sperme qui après avoir empli notre vagin, va venir mouiller nos cuisses. Mais les mouvements rapides d'un marteau piqueur produisent un échauffement et il est heureux que notre mouille soit là pour lubrifier l'orifice à perforer. Pour beaucoup d'entre eux le fin du fin consiste à utiliser notre joli et délicat vagin comme moyen d'armer le fusil afin de venir prendre notre bouche comme cible, nous gratifiant d'un puissant jet de sperme trop abondant et au goût trop salé, qui manque nous étouffer. Mais le "mâle" est satisfait, ses couilles se sont bien vidées et après un cri d'aurochs il peut s'affaler sur le dos, les bras en croix, la mèche à béton, devenue flasque, repose mollement sur sa cuisse. Les plus dévouées d'entre nous vont lécher les dernières gouttes de la munition, celles qui n'ont pas été assez rapides pour prendre le train des salves. Mais où est passé notre orgasme après l'usage de ces outils de perforation ? Il se cache et n'attend que notre main, notre clitoris, notre index pour sentir la douceur, prémices de félicités qui nous feront perdre la notion du temps. Nous rêvons à l'amie qui vient dîner ce soir avec moi, aux caresses et succions que nous nous donnerons, étant certaines que notre dessert, arrosé de nos sucs intimes sera un délice. Mais soyons indulgentes, la gente masculine a une faiblesse; son artillerie date de l'époque napoléonienne et son temps de rechargement est long voire très long. Nous avons la ...