Découverte féminine - Histoires de Sexe

Découverte féminine

... dit-elle alors que la fin du dîner approchait. J’étais un peu surpris par la teneur de ses propos, mais aussi curieux de savoir ce qui m’attendait. — Je compte sur toi pour être bien sage. Fais-moi plaisir, fais ce que je te dis et tu ne le regretteras pas, dit-elle en souriant. Visiblement elle semblait avoir prévu son coup. Nous avons quitté la table vers 21 heures 30 et nous sommes remontés vers la chambre. En chemin, Annette m’expliqua ce que je devais faire. Il fallait que j’attende tranquillement sur le balcon. Je ne devais me montrer qu’à partir du moment où elle m’aurait fait signe. Je lui ai emboîté le pas en entrant dans la chambre. La folle journée que nous venions de passer n’avait pas calmé mes ardeurs. J’avais encore très envie d’elle. Je l’ai attrapée par la taille, puis j’ai commencé à malaxer chacun de ses deux gros obus. Cela n’a duré que quelques secondes, car elle venait de desserrer mon étreinte. — Chaque chose en son temps. Vas te mettre sur le balcon, laisse la fenêtre ouverte, mais tire le rideau. Et surtout ne fais pas de bruit. Je me suis exécuté. L’éclairage de la chambre mêlé à la pénombre extérieure faisait que je pouvais voir en toute quiétude ce qui se passait dans la chambre, tout en étant presque invisible aux yeux des occupants de la pièce. Annette s’est alors dirigée vers la salle de bains. La chambre était totalement vide. J’ai profité de la solitude de l’instant pour contempler le paysage extérieur de l’hôtel. Le jardin était ...

... somptueusement illuminé. Quelques couples se baladaient tranquillement en profitant de la relative douceur de cette soirée. C’est alors que l’on frappa à la porte de la chambre. Pendant une demie seconde, j’ai pensé devoir aller ouvrir, mais Annette fut prompte à se diriger vers l’entrée. Elle s’était apparemment changée. Je n’ai malheureusement pas pu voir immédiatement dans le détail la tenue qu’elle venait de revêtir, néanmoins elle venait de passer sa robe de chambre en satin rose ornée d’une délicieuse petite fourrure aux extrémités des manches et tout le long de chaque ouverture. J’étais assez loin de l’entrée et je n’ai pas reconnu tout de suite la personne qu’elle venait de faire entrer dans la chambre, mais je vis que c’était une femme. Elles se sont approchées toutes deux du centre de la chambre. Cela ne faisait maintenant plus aucun doute. C’était Cindy. D’abord surpris, j’ai vite fait le lien entre sa présence ce soir et le trouble visible qu’elle avait procuré à Annette ce matin. Cindy était une demie tête plus petite qu’Annette. Elle était vêtue d’un pantalon noir assez moulant qui mettait en avant les formes appétissantes de ses fesses bien galbées. Elle portait également un pull à col roulé noir sans manche dans une matière ressemblant à de la mousseline. C’était vraiment le genre de vêtement fait pour mettre en avant ses seins de grosse taille eux aussi. Elle semblait légèrement maquillée et visiblement contente d’être là. Elle devait savoir pourquoi elle était là, car ...