1. Will


    Datte: 23/07/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, intermast, rasage, Oral fgode, fdanus, fsodo, attache, yeuxbandés,

    ... faire des choses plus raffinées. J’expose mes intentions à mes amant-e-s, et j’ajoute, d’une voix irrésistible de séduction : — Maintenant, j’ai vraiment envie que vous vous occupiez de moi. Chacun d’eux aussitôt m’embrasse, prend un de mes seins, et m’assure qu’ils va très bien s’occuper de moi. Je sens leur sincérité, leur désir, et leur affection, et c’est vraiment bon. — Pour l’instant, nous sommes affamés, dis-je, tout enjouée, il est temps de faire un brin de toilette, après quoi nous irons casser la croûte au petit resto en bas et nous reviendrons vite continuer notre fête. Dans la salle de bain, nous nous lavons avec joie et plein de caresses plus ou moins osées. Will est à nouveau au garde-à-vous. Quelle chance d’avoir un tel homme, vraiment à la hauteur. Cette dernière expression doit certainement avoir pour origine une femme dévorant des yeux un homme qui bandait comme Will, nettement plus haut que l’horizontale. Au restaurant, Will est assis en face de nous deux et son regard gourmand passe de l’une à l’autre avec le même désir et le même enthousiasme. Sous la table, il a placé ses jambes de telle sorte que chacune d’elle est insinuée entre nos deux genoux, et il veille ainsi, à petits coups à droite et à gauche, à ce que nous restions toujours bien ouvertes, écartées par lui et pour lui. Tout en dévorant à belles dents, nous nous dévorons des yeux, et sans nous attarder trop au moment de boire le café, nous remontons dans notre chambre. Dans l’escalier, les ...
    ... mains de Will, qui s’est arrangé pour être derrière nous, expriment son admiration pour nos croupes et nos cuisses par des caresses ou des tapes possessives et stimulantes, comme les mâles aiment en donner, et comme nous aimons les recevoir. Arrivés chez moi, la porte refermée, nous nous embrassons, enlacés, comme pour rattraper le temps perdu au restaurant où il fallait rester discret. Encore que nos regards et notre connivence ne sont-ils certainement pas passés inaperçus à des yeux avisés. Qu’importe ! Mais maintenant, malgré notre désir évident, je sens notre fatigue et je pense qu’il est préférable de prendre un peu de repos avant de recommencer notre fête, qui n’en sera que meilleure. — Faisons une petite sieste pour commencer, ce sera mieux après.— D’accord, dit Will, avec son accent délicieux, mais il faut faire la sieste tout "nious". Bientôt, dans le plus simple appareil, il est sur le lit entre ses deux nanas, nues elles aussi, chacune ayant posé sa tête au creux d’une épaule, et nous avons posé une cuisse sur la sienne en plaquant notre chatte toute chaude contre sa peau virile. Très vite, nous sombrons dans un profond sommeil. Je suis la première à me réveiller, et j’apprécie la puissante présence mâle tout contre moi. Ouvrant les yeux, je constate aussitôt que la flèche de Will est dressée vers le ciel. Quel type ! Même endormi, il bande. Il fait peut-être un merveilleux rêve érotique dans lequel il se voit couché entre deux nanas superbes et qui ne demandent qu’à ...
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