1. Will


    Datte: 23/07/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, intermast, rasage, Oral fgode, fdanus, fsodo, attache, yeuxbandés,

    ... barre. J’ouvrais les jambes, je me cambrais pour m’offrir, et pour qu’il arrive enfin à m’enfiler somptueusement, après quelques coups plus ou moins ajustés, mais terriblement excitants. Adroitement, il faisait alors évoluer l’aile planante de telle sorte que son balancement latéral alterné se répercutait d’une manière terriblement bénéfique sur les parois de ma vulve magnifiquement sondée par son engin que je sentais particulièrement imposant. Je fantasmais ainsi un septième ciel de rêve, en voyant le monde défiler sous moi, de très haut. Vally, sans dire un mot, m’a pris l’autre poignet et l’attache aussi. Ils sont certainement convenus de ne rien dire, ils doivent communiquer par gestes. Ils attachent aussi mes chevilles en m’écartant résolument les jambes. C’est merveilleux. Je crois rêver, mais après ça, il ne se passe rien. Ils me laissent comme ça, sans me toucher, un moment qui me semble très long. Peut-être s’embrassent-ils, se caressent ou même se baisent-ils quelque part dans la pièce ? Pourtant, en tendant bien l’oreille, je ne perçois rien, sinon leur présence toute proche. Que vont-ils faire de moi ? Pourquoi ne profitent-ils pas de ma position offerte, et sans défense, pour me fouiller partout ? Ils doivent bien voir que j’en meurs d’envie, car je coule d’abondance au milieu de moi, je suis tout ouverte et mes seins sont complètement érigés, mon clitoris aussi. Mon souffle est un peu haletant, je respire par la bouche comme pour leur montrer que, là aussi, je ...
    ... suis ouverte. Soudain, quelque chose de très doux me frôle sur le flanc. Une très douce caresse remonte de ma taille vers le sein droit. Un autre contact, très doux lui aussi, différent cependant, descend lentement de mon sein gauche vers le creux de la taille et la hanche. Je frissonne de plaisir avant de comprendre qu’ils se servent de mes autres foulards pour me caresser si délicatement. Je pousse un soupir de bonheur et de reconnaissance. Ils vont prendre leur temps et me donner tous les plaisirs possibles, sans que je sache qui fait quoi. Je m’abandonne sans réserve aux sensations qu’ils font courir sur ma peau, car les frôlements explorent toutes les parties de mon corps et de mon visage qu’ils peuvent atteindre dans ma position ; mais toujours très doucement, délicatement, sans s’attarder. Parfois, ils doivent changer de foulard, car le contact diffère ; je crois même reconnaître un moment le toucher de mon écharpe en mohair. Parfois aussi, ils soufflent leur haleine, tantôt fraîche, tantôt chaude, sur mes seins ou entre mes cuisses ou sous mes aisselles, ou encore dans le creux du nombril. Ce n’est pas comme cela qu’ils vont éteindre le feu en moi. Il faudrait plutôt la lance d’incendie de Will, mon pompier préféré ! Il est vrai qu’avec lui, c’est souvent moi qui fait le pompier ! Les psychanalystes diraient que je suis plutôt orale, c’est vrai, mais je suis aussi bien vaginale, anale, clitoridienne, et j’aime aussi faire jouir mon amant entre mes seins ; les freudiens ...
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