Will
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
intermast,
rasage,
Oral
fgode,
fdanus,
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
... l’amour, et qui me plaît, jouit dans ma bouche, qu’il jouit en même temps au fond de mon vagin, que je suis pleine de sa semence, et ça me fait un bien fou ! J’aime le goût du sperme, à la fois douceâtre et entêtant, comme le parfum des fleurs de sous-bois, et qui reste en bouche longtemps après que la grosse masse de chair ait giclé et se soit retirée. La fente juteuse sur ma bouche, et le corps de la femme se sont aussi retirés. On me détache les jambes. On place sous mes fesses d’épais coussins, et la femme vient à nouveau sur moi, dans le même sens cette fois-ci. Je remonte mes genoux et noue mes chevilles sur les reins de ma belle amante qui plonge sa langue dans ma bouche et emboîte ses seins avec les miens. Elle frotte son pubis contre ma vulve qui s’ouvre pour elle. Que c’est bon de se faire faire l’amour par une femme comme elle ! Mais voici qu’une chose ferme et chaude, que je reconnais bien, se glisse entre nos chattes amoureuses et y commence des allées et venues. Nous la pressons, la malaxons de nos grosses et petites lèvres, de nos clitoris exaltés. Lui va en avant et en arrière, nous, nous ondulons de concert latéralement, et le tout c’est génial ! Soudain il plonge en moi et c’est merveilleux ! Deux trois coups et il ressort. Je comprends qu’il bouge en elle maintenant, aux réactions du corps féminin contre moi, à son souffle rythmé par les coups masculins qui poussent le corps de mon amante contre le mien. Il revient en moi, alterne ses allées et venues ...
... tantôt dans l’une et tantôt dans l’autre. Il est trempé et glissant du mélange excessivement abondant de nos substances d’amour et de plaisir. Mon corps et celui de mon amante jouissent l’un sur l’autre. Je fais l’amour avec une femme pendant qu’un splendide sexe d’homme a finalement élu domicile dans mon ventre et me bourre longtemps de coups puissants et délicieux qui font monter en moi un ouragan de plaisirs. Je crie mon bonheur, ma plénitude. Je m’ouvre encore plus, je suis béance, liquide et chaude, je l’absorbe au plus profond de moi. Ses coups de boutoir résonnent sur le col de mon utérus, éveillant des sensations indescriptibles. En même temps, je jouis de la douceur de la peau d’une femme contre moi, de la douceur de ses seins, de sa langue enroulée autour de la mienne. Je ne sais plus où j’en suis, je suis soulevée par une vague immense qui déferle avec une puissance incroyable et me laisse exsangue, alanguie, domptée, comblée, royale, magnifique, somptueuse, complètement relâchée, abandonnée. Quand je reviens à moi, une chose douce et ferme continue d’explorer lentement mon ventre liquide et chaud, qui vibre encore, et produit parfois des spasmes délicieux. Il s’immobilise et je le sens palpiter en moi, avant qu’il ne décroisse lentement dans mon antre secret, au centre de mon corps, au centre de ma joie. Devenu petit et attendrissant comme un sexe de petit garçon, il sort lentement de moi, trop faible désormais pour se maintenir en place et régner en maître au cœur de ...