1. (Vue sur internet) Une charmante maîtresse de mais


    Datte: 24/07/2018, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... Tania regardaient sans rien dire. Leur yeux étaient posés sur le sein droit de ma femme qui était sorti du maillot. Tania et Marc se regardèrent d’un air complice. Sylvain attira ma femme vers lui. Il déposa un furtif baiser dans son cou. Marc s’approcha en souriant. Ma femme ouvrit les yeux. Marc se tenait devant elle. Elle le regarda de son air espiègle. Il regarda la main de Sylvain malaxer son sein gauche. Marc soupesa le sein droit de ma femme et le remit dans le maillot sans oublier au préalable de le malaxer. Ma femme sourit.Personne n’avait rien vu de cette scène. Je ne savais que penser. Avait-elle déjà couché avec d’autres hommes, couchait-elle avec eux régulièrement. Je ne savais comment réagir. Tous les hommes disent que s’ils voient un pareil spectacle il font un scandale, et vont tabasser les mecs. Mais là ma femme n’a rien dit, qui ne dit mot consent. Ils avaient tenter leur chance et il avaient touché le jackpot. Ils n’étaient pas plus fautifs quelle. Entre la réalité et la fiction il y a un fossé, je m’en rendis compte à ce moment-là. J’étais tétanisé, je ne savais pas quoi faire, et n’osais pas faire quoi que ce soit. Il y avait du monde. Je ne voulais pas que les regards se portent sur moi. J’étais peut-être faible. Je n’arrivais pas à avoir de la haine. Je perdais toute réactivité.J’étais dans la cuisine pour reprendre mes esprits. Cela faisait une demi-heure que j’avais disparu de la soirée.La porte s’ouvrit. Ma femme apparut. Le nœud dans l’estomac ...
    ... se resserra immédiatement. Elle souriait toujours. Elle s’approcha de moi. — Ça ne va pas mon amour ?« Mon amour, pensai-je, quel toupet alors ! Espèce de … » Je n’arrivais pas à la traiter de tous les noms.. Je ne pouvais pas ? Je l’aimais. — Non ça va, peinai-je à dire. — On dirait pas. Elle se colla à moi et je sentis cette poitrine douce, ferme, se coller à moi. Tout comme Sylvain l’avait sentie une demi-heure plutôt, les tétons durcis par l’excitation. — Tu veux que je te fasse du bien ? me demanda-t-elle.Elle porta sa main à mon pantalon. Aussitôt mon sexe réagit. Elle le sentit et commença à le frotter. Instinctivement je fermai les yeux. Elle savait y faire.Elle me retourna et fourra sa main dans mon froc. — Attends, quelqu’un peut rentrer. — Qui ? — Sylvain.Elle ne réagit même pas lorsque j’évoquai sont prénom. — Eh bien on est chez nous, il sait ce que c’est. Une femme a bien le droit de sucer son mari.Elle me descendit le pantalon et le caleçon a une rapidité fulgurante. Je regardai autour de moi dans un geste réflexe pour voir si personne n’était là. Elle commença à me masturber doucement, s’appliquant à effectuer de longs et agréables va-et-vient. Elle me regarda avec son sourire. Le même qu’elle avait eu vis-à-vis de Marc. Puis elle se mit à genoux. Elle continuait de me regarder. Ses doigts effleurèrent mes testicules. Je sursautai. Elle sortit sa langue et du bout frôla mon gland. Elle continuait à me regarder droit dans les yeux. Elle se mit à me lécher les ...
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