1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 690)


    Datte: 24/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°689) - Le médecin se mit à rire... la secrétaire n'avait pas bougé, elle se tenait immobile, silencieuse, bien droite, les yeux baissés. Ses seins pointaient et Olivier remarqua que sa chatte était parfaitement épilée, laissant deviner le rose délicat de ses chairs les plus intimes. Le psychiatre s'approcha d'elle et passa sa main entre ses cuisses. Elle ne frémit même pas, se contentant d'écarter un peu plus les cuisses... Sa main fouillait la chatte de la femelle, ses doigts pénétraient profondément en elle. Elle ne disait rien, se tenait docilement immobile malgré les doigts qui allaient et venaient. Finalement le docteur retira ses doigts et les approcha du visage d’Olivier. Ils dégoulinaient de la mouille de sa secrétaire - Lèche !, dit-il et Olivier obéis sans même réfléchir tant il était subjugué par la scène. Le médecin fourra ses doigts dans la bouche d’Olivier et celui-ci léchait... Olivier n'avait aucune capacité de révolte, il léchait tel un chien docile… Sans un mot, le docteur s'approcha de nouveau de sa secrétaire et suivit du bout des doigts les traces laissées par les ongles de Claire, sur la peau tendre de la soumise : - Je vois que Claire, ma chère épouse, a laissé de jolies traces... Puis, il saisit sa secrétaire par les cheveux et l'obligea à allonger son torse sur le bureau. Elle se tenait penchée, faisant saillir sa large mais belle croupe. Le médecin saisit une règle plate en ...
    ... métal qui se trouvait à proximité et commença à lui en asséner de violents coups sur les fesses. Les coups étaient forts, secs, réguliers. Ils tombaient un à un, implacablement, le son de chaque coup résonnait clairement aux oreilles d’Olivier et des traces commençaient à marquer les fesses offertes, recouvrant peu à peu les traces de l'ancienne flagellation... Elle subissait l'épreuve en silence, demeurant immobile et sans laisser échapper le moindre gémissement. Pourtant les coups tombaient durement et son cul rougissait et se marquait de façon impressionnante. Tout en frappant, le psychiatre me regardait en souriant avec perversité ... Les coups tombaient avec une froide régularité et je voyais la croupe de la secrétaire qui rougissait et bleuissait implacablement. Elle devait souffrir, pourtant, elle restait immobile et ne laissait pas échapper un gémissement. Seule une contraction des muscles du dos et des cuisses laissait deviner la tension qui la gagnait peu à peu... Soudain il mit fin à la punition : - Tu vois comme elle est bien dressée. Pas une plainte (il tapota les fesses meurtries de la jeune femme) voilà une bonne chienne. Il s'approcha d’Olivier et planta son regard dans le sien... - C'est cela que tu veux devenir ? une bonne chienne ?... une putain docile ? Si c’est ça, je sais que tu peux aller chez Monsieur le Marquis car la soumission t’est indispensable, sinon, quitte cette pièce et tu n’entendras plus jamais parler de nous, les Dominants … Olivier bandait ...
«1234»