1. Drôle de jeu (2)


    Datte: 26/07/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Intrigué par la scène peu habituelle dont il venait malgré lui d’être le témoin, Fabrice avait à coeur de percer le mystère que sa mère et sa soeur souhaitaient lui cacher et surtout savoir pourquoi il devait l’ignorer. Il prit donc le parti de surveiller Solange et Julie de loin. En début de soirée, pendant le souper, Solange avait demandé à son fils comment s’était passée sa journée. Le jeune homme avait répondu évasivement que comme tous les vendredis, il avait trouvé la journée longue. Peu après le repas, vers 20h, alors que Fabrice regardait un épisode pré-enregistré de sa série préférée, sa mère vint lui annoncer qu’elle et Julie sortaient. — Mon chéri, Julie et moi sommes de sortie ce soir. J’irai boire un verre avec une collègue de travail et Julie a été invitée à une soirée chez des amies. Nous allons sûrement rentrer tard donc nous prendrons nos clés pour que tu puisses aller te coucher sans te soucier de devoir nous ouvrir. À demain. — À demain, amusez-vous bien ! Solange et Julie sortirent de la maison mais ce qu’elles ignoraient était que Fabrice avait découvert leur secret et qu’il était bien déterminé à en savoir plus. Le jeune homme attendit donc que sa mère et sa soeur se fussent suffisamment éloignées de la maison pour sortir à son tour et fermer la porte derrière lui. Il repéra rapidement les deux femmes et les suivit à bonne distance. Après cinq minutes de filature, Fabrice vit Solange et Julie pousser le portillon d’une villa et entrer dans le jardin. ...
    ... Le jeune homme demeura en retrait et put distinguer l’homme qu’il avait vu avec les deux femmes quelques heures auparavant s’avancer vers elles et les accueillir d’un baiser sur les lèvres. Au risque d’être repéré, Fabrice avança jusqu’à la haie encadrant le portillon et se dissimula derrière la végétation afin d’entendre ce qui se disait entre les trois protagonistes de ce rendez-vous dont les raisons lui paraissaient encore bien obscures. — J’espère que vous avez repris des forces, mes jolies parce que je compte bien vous épuiser comme vous m’avez épuisé tout à l’heure. — Ne vous inquiétez pas : ma fille et moi sommes les meilleures dans le domaine et nous agissons comme telles. — Quelle modestie ! Eh bien, nous verrons bien si ce que vous dites est vrai. Des femmes, j’en ai connu dans ma vie et je peux vous dire qu’il y avait du niveau. Assez parlé, maintenant ! Montons dans la chambre et montrez-moi ce que vous savez faire au lit ! — Le lit, c’est plutôt pour les petits bourgeois. Ce que nous aimons, ma mère et moi, c’est copuler à l’air libre, sentir le vent nous rafraîchir la moule déjà bien réchauffée par le soleil. — Ce ne serait pas très prudent, jeune fille. Nous pourrions choquer des âmes sensibles. — Je ne vois pas de quoi vous parlez. Personne ne passe jamais par ici, vos voisins sont tous en vacances pendant tout le mois et la haie est assez haute pour nous cacher des regards indiscrets. — Bon, très bien, comme vous voulez ! Solange et Julie entraînèrent leur ...
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