1. Le fol anniversaire d'Antonia (11)


    Datte: 19/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d’aller l’attendre dix minutes dans la chambre. Au bout d’un quart d’heure, Gabriela entre. Le téléphone sonne. Elle répond, me passe Grégoire qui me pose un lapin. Je me retrouve alors à discuter avec Gabriela qui me dit qu’elle est folle amoureuse de Grégoire. Je lui demande pourquoi elle a souhaité assister à notre ébat, car ça doit être douloureux. Sa réponse : Grégoire lui a dit que j’étais un super coup. Antonia rit, Samuela boit une gorgée d’eau. — Gabriela me couvre de compliments et se rabaisse par rapport à moi. Je lui dis qu’elle est mille fois mieux foutue que moi et que c’est plutôt à moi d’être gênée devant sa beauté. Elle me parle alors d’élégance. Là, je craque un peu : en trois minutes, j’ai tout enlevé et je suis en string devant elle. Elle enlève timidement sa blouse et elle passe ma tenue : jupe de tailleur courte, chemisier blanc et le porte-jarretelles. J’étais jalouse car c’était carrément plus élégant sur elle ! Nouvel éclat de rire et Samuela de poursuivre son récit : — On a sympathisé à ce moment-là en fait. Et on a manigancé un plan. Quand j’y suis retournée quelques jours plus tard, je suis montée directement dans la chambre où Gabriela m’attendait. Elle a appelé Grégoire en lui disant que j’étais déjà là. Quand il est entré dans la chambre, nous étions toutes les deux en blouse de travail de l’hôtel, une robe-chemise assez élégante. Ça l’a déstabilisé. On l’a installé dans le fauteuil et on est montées sur le lit. Je lui ai donné mon ...
    ... appareil-photo. On a fait les pseudo-lesbiennes. Grégoire était fou de nous voir toutes les deux en porte-jarretelles sur le lit et il faisait pleins de photos. Je précise que Gabriela et moi avons gardé nos dessous, y compris le haut. Ensuite, je me suis vite rhabillée et je suis partie. Grégoire n’a pas tout compris. Je lui ai dit le lendemain que c’était terminé et peu de temps après, lorsque Gabriela a quitté l’hôtel en fait, ils ont officialisé leur relation. Je prends la parole : — Attends voir. J’ai été chez Grégoire et Gabriela il y a 3-4 ans. Samuela sourit : — Tu as été faire pipi ? — Justement, oui. Antonia intervient : pobpyyj — Quel est le rapport ? Je réponds : — Dans leurs toilettes visiteurs, il y a une quinzaine de cadres au mur, de différents formats. Tous contiennent une photo en noir et blanc, représentant une partie de corps féminin. Samuela me coupe : — Je lui ai donné toutes les photos en ayant pris soin de couper ou dissimuler nos têtes, à Gabriela et moi. Il en a fait ce patchwork. Et personne ne sait que celle qui porte les dessous foncés, c’est moi. Je souris : — Il a fait un travail magnifique car c’est très esthétique et jamais vulgaire, même le grand cadre. Samuela rit : — Oui, même le grand cadre passe bien alors que la photo est plus que suggestive. Antonia dit : — Elle est comment ? Samuela me regarde et me fait signe de répondre : — Ta sœur devait être sur Gabriela quand Grégoire a pris la photo. Samuela acquiesce de la tête. Je poursuis : — En premier ...