1. Ma coloc' Nina: Ch. 13


    Datte: 25/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... langues danser ensemble. Puis sans prévenir, Johanna a envoyé deux claques sèches sur la joue de Nina. Celle-ci avait l'air choquée mais est restée sans bouger. Puis elles se sont embrassées à nouveau. Les mains de Johanna avaient glissé sur la poitrine de Nina, et la malaxait. Ou plutôt, la maltraitait. Les tétons de Nina ont ainsi été tirés, pincés, tordus violemment, ses seins ont été claqués à de nombreuses reprises. Et Nina ne bougeait toujours pas. Elle me lançait parfois des regards interrogateurs, mais ne bougeait pas d'un poil. Johanna s'est ensuite relevée, et est venue vers moi. Tout en regardant son jouet d'un soir, elle a défait ma ceinture. Ça aurait pu être un jeu terriblement sadique que de titiller la jalousie de Nina. Incapable de faire le moindre mouvement sous peine d'être sévèrement punie, Nina nous aurait regardés baiser et jouir devant elle. Mais ce n'était pas l'idée de Johanna, qui avait seulement besoin de ma ceinture. Elle l'a passée autour du cou de Nina, et s'en est servi comme d'une laisse. Elle lui a fait faire le tour de la chambre, en l'étranglant et en lui claquant le cul à chaque occasion. Puis elle l'a tirée jusqu'au lit et l'a forcée à s'allonger sur le dos. _ J'espère que tu as encore faim, lui a-t-elle lancé. Johanna, visiblement très à l'aise dans son rôle de dominatrice, a défait son peignoir et est allée s'assoir sur le visage de Nina. Elle l'a littéralement étouffée, frottant bien ses orifices contre Nina. Elle relevait parfois le ...
    ... bassin, la laissant respirer un peu, puis se frottait à nouveau à elle. Johanna était déchainée. Elle se branlait avec le visage de Nina en la traitant de tous les noms, tandis qu'elle frappait sa poitrine, puis son sexe. Et plus elle la frappait, plus elle gémissait. Confortablement assis dans mon fauteuil, me masturbant comme un ado face à ce sympathique spectacle, il m'a semblé avoir vu Johanna avoir au moins deux orgasmes. Pour autant, elle ne s'est pas retiré, elle a simplement écarté ses fesses et posé son anus sur la bouche de ma chienne. Puis elle m'a regardé, et m'a demandé : _ Je peux faire ce que je veux ? _ Tant que tu ne me l'abime pas, oui. Alors Johanna a relevé ses fesses au-dessus du visage de Nina, d'une vingtaine de centimètres tout au plus. Et sans que quiconque ne s'y attende, elle s'est mise à pisser sur Nina. Celle-ci s'y attendait peut-être encore moins que moi, et a simplement fermé la bouche et les yeux en attendant que ça passe. Pour ma part, j'étais sidéré par ce que je voyais. C'était une étape que j'avais prévue pour plus tard, mais Johanna était plus délurée que ce que je pensais. Elle s'éclatait, visiblement, branlant son clitoris tandis que le jet doré se tarissait. _ Ça c'est une bonne chienne, disait-elle tout bas. Elle aurait pu s'arrêter là, mais quand on est sur une telle lancée, on ne s'arrête plus. Johanna s'est relevée, et saisissant Nina par sa laisse improvisée, l'a faite descendre du lit. La pauvre n'avait pas d'autre choix que de ...