Le Graal du Vaktkr'Yass
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
uniforme,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sf,
... propager de manière fort peu discrète. Mettant son oreiller sur sa tête, il tenta d’oublier les halètements de plaisir qui provenaient d’à peine cinq mètres sur sa droite. Sans succès. Les sons, légèrement étouffés, étaient encore bien distincts : — Hmmm… oui… comme ça capitaine… par derrière… hhhhh…— Vous aimez… belle Karen ? souffla une voix masculine. Un coup apparemment plus appuyé que les autres arracha comme réponse un petit cri à la commandante. — Je prends ça pour un oui, très chère… Puis les chuchotements se turent, et le silence de la pièce ne fut plus bercé que par de doux frémissements : les draps caressaient la peau des deux amants comme pour mieux les envoûter, les deux corps accordaient progressivement leurs ébats, les respirations se faisaient plus pressantes, plus passionnées, demandant toujours plus loin, toujours plus profond, toujours plus vite. À intervalles plus ou moins réguliers de discrets gémissements de félicité féminine perçaient l’obscurité, manifestations de plaisir échappant à tout contrôle mais rapidement étouffées dans l’oreiller ou sur les draps par l’heureuse comblée. Le rythme s’accélérait, suggérant impérieusement la rencontre de deux sexes avides d’en découdre. Le membre masculin ne faisait clairement preuve de plus aucune retenue : franchissant les lèvres intimes de la jeune femme, il écartait à chaque passage les chairs intérieures abondamment lubrifiées, entrant avec force toute sa grosseur et toute sa longueur dans ce vagin inondé de ...
... plaisir. Maintenant complètement offerte, la belle commandante se laissait entreprendre sans plus résister. Ne s’occupant plus que du plaisir qui montait de ses entrailles, elle se laissait aller à pousser de petits cris qui se faisaient de plus en plus fréquents et de plus en plus forts : — Ahhh… je viens, hhh… oui… capitaine… hhhhhhhhhhhhhh… Le corps féminin se crispa sur les draps froissés, les poings serrés sur les barreaux d’acier de la couchette, les seins dardant leurs pointes arrogantes, puis, étonnamment sans un bruit, la commandante rejeta sa longue chevelure blonde en arrière, ouvrant la bouche pour pousser un long cri silencieux… et finalement s’affaissa sur le lit, échappant ainsi au dard qui l’avait si bien maltraitée. Puis plus rien si ce n’était quelques soupirs de contentements… Pensant que c’était fini, Milo remit confortablement son oreiller en place. Mais la commandante était bien décidée à être diaboliquement efficace le lendemain. Elle murmura : — Hmm, c’était… délicieusement agréable, capitaine… et pour vous récompenser… On entendit un peu de remue-ménage, des draps que l’on repousse, des corps qui bougent, puis un bruit de succion bien caractéristique se mit à poindre. Milo déglutit en silence. Rien que d’imaginer la belle commandante Karen Tÿr sans vêtements aurait suffit à l’empêcher de dormir. Alors se voir imposer des idées où de grands yeux noisette vous fixaient pendant qu’une bouche gourmande expertisait votre bas-ventre. Brrr… Milo savait que ...