1. Nuit d'amour à 3


    Datte: 25/07/2018, Catégories: fhh, jeunes, fête, Oral

    L’histoire que je vais vous raconter s’est produite il y a un an et demi, au mois de novembre 2003. Habitant Brest, j’avais été invité par plusieurs amis à faire la fête, sans prétexte particulier. Parmi les invités, Laetitia, une jeune collègue de boulot ; âgée de 22 ans, elle m’avait attiré dès que je l’avais vue, et c’était sa présence qui m’avait poussé à accepter l’invitation. Les autres avaient tous sensiblement le même âge et étaient pour la plupart des amis proches. A 1 heure du matin, les cafés fermant leurs portes, la plupart des membres du groupe ont décidé de rentrer chez eux ; seuls cinq d’entre nous ont continué. Laetitia a proposé que nous finissions la soirée chez elle. Célibataire, elle habitait seule, non loin du centre-ville. Vers trois heures, nous n’étions plus que trois dans l’appartement : Laetitia, Nicolas, un camarade âgé de 22 ans à l’époque, et moi. Nicolas et moi étions passablement ivres, n’avions pas de quoi payer un taxi, et c’est tout naturellement que Laetitia nous a proposé de dormir chez elle. Nous avons accepté, sans arrière-pensée, et lui avons demandé où nous pourrions nous installer. Nous pensions qu’elle sortirait un matelas d’un placard ; au lieu de cela, elle nous a dit qu’il n’y avait qu’un lit. Immédiatement, je me suis pris à regretter que Nicolas soit là ; il a d’ailleurs eu exactement la même pensée, comme il me l’a avoué plus tard. Nous nous sommes donc tous les deux déshabillés rapidement, pour nous ruer sous les draps, ...
    ... pensant chacun que la présence de l’autre empêcherait tout dérapage. Laetitia s’est changée dans la chambre : nous tournant le dos, elle a enlevé pull, tee-shirt et soutien-gorge pour enfiler une longue chemise. Elle avait un corps absolument superbe, une taille étroite et une poitrine magnifique, que nous avons tous deux entraperçue. Inutile de dire que nous n’en perdions pas une miette. Après avoir enfilé la chemise, elle a enlevé son pantalon, ses chaussettes et, à notre stupéfaction, sa culotte. Après ce petit manège qui nous avait passablement excités, elle est venue s’installer dans le lit, entre nous, comme de bien entendu. Pendant quelques secondes, nous nous sommes tous les trois regardés avec des sourires gênés ; pas une parole n’avait été échangée depuis que Nicolas et moi nous étions couchés, mais l’atmosphère de la soirée avait brutalement changé. C’est Nicolas qui a pris les choses en main. Il a doucement posé sa main sur le visage de Laetitia, l’a attiré vers le sien et l’a embrassée. Il ne l’a pas gardée longtemps, et lui a fait comprendre par des gestes doux qu’elle devait m’embrasser aussi. Alors que je l’embrassais, je l’ai sentie bouger un peu : Nicolas commençait à lui caresser les cuisses. J’ai fait de même. Quand nos mains se sont un peu approchées de son entrejambe, elle s’est raidie, semblant craindre que les choses n’aillent trop vite et trop loin. Nicolas qui, contrairement à moi, n’avait pas perdu son sang-froid, lui a alors dit que, nous aussi, nous ...
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