1. L'EXCITATION N'A PAS D'ÂGE.


    Datte: 25/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... amie : - Tu as raison, mon garçon, la nature est belle pour celui qui sait la découvrir, avec passion et délicatesse… il faudra quand se revoie pour approfondir la chose. Tu ne crois pas ? - Je suis à ta disposition. Tu sais où me joindre ? - T’inquiète, compte sur moi, je le ferais. Je te souhaite une belle fin de soirée. Les jours passaient et enfin, elle daignait m’appeler. D’une petite voix timide, elle me dit : - Si cela est possible, j’aimerais bien te revoir ! - Mais quand tu veux… je désespérais à ne pas avoir de tes nouvelles… - C’est que ses derniers temps… enfin ! Si tu viens ce soir, fit-elle, reprenant le tinte de voix que je lui connaissais. Sache que tu dois m’obéir sans hésiter ! Je t’attends chez moi, ce soir à 20H00. J’espère que tu ne seras pas trop sage avec moi… j‘ai comme un besoin d’être comment dire : profané, oui c’est ça… pro…fa…né. - Je viendrais, disais-je. J’étais inondé de bonheur alors qu’elle raccrocha. Je restais figé, l’appareil à la main. J’avais vécu le restant de la journée juste pour ce moment que j‘allais passer avec Lucette. J‘avais encore en mémoire son dernier mot, qu’elle avait bien épelé : - Pro…fa…né… Comme si elle voulait que ces trois syllabes soient gravées dans ma mémoire. La scène de la réception me revint à l’esprit et ça jusqu‘à arrive l’heure dit. À l’endroit indiqué je sortais de ma voiture et courais jusqu’à l’entrée. Elle occupait un grand appartement. Trop grand pour une femme seule comme elle l‘était. Il se situait ...
    ... dans un quartier cossu. Je traversais un hall assez vaste d’où partait un escalier en bois dont la rampe était en fer forgé. Qui se mettait à craquer à chacun de mes pas. Elle me reçut dans une jupe rouge vif, et un corsage blanc. Aux pieds des escarpins vernis. Elle m’introduisait dans son appartement et me pilota jusqu’à ses intérieurs. Quand elle s’effaça pour me laisser passer, je sentis le parfum de sa peau. Je débouchais dans une grande pièce, qui faisait office à la fois de salle à manger et salon. Je fus impressionné par la vaste bibliothèque en acajou chargée d’ouvrages aux reliures en cuir qui couvraient entièrement les murs de la pièce. À aucun moment, elle ne m’avait quitté des yeux, avec un sourire malsain qui animait ses lèvres. Tous les meubles étaient anciens, assortis avec goût. Et alors que j’étais en pleine contemplation, elle se jeta sur moi. Bouche ouverte, me léchant le visage. Suça mes lèvres et ma langue. - Excuse-moi… fit-elle, en s’écartant. Je suis trop excitée ! Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je te jure, c’est la première fois que cela m‘arrive. - Oh ! Ne t’excuse pas, Lucette, je suis moi aussi très excité… Lui désignant la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon jean. - Alors ne perdant pas de temps. Il faut battre le fer quand il est chaud. Passant dans la chambre, si tu veux bien, nous y serons mieux… Que fus ma surprise en y entrant de trouver sur le couvre lit normand en menuisier, une cravache et deux sangles déjà arrimées aux ...
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