1. vive les fêtes ratées (3)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qui lui était consacré et repris la séance qu’elle avait si heureusement interrompue il y a environ une semaine. Maintenant, j’avais nettement moins de scrupules et mon sexe se dressa alors que je la retrouvais dans deux trios différents, une fois prise par deux hommes -dans sa bouche et dans sa chatte-, une autre fois agenouillée avec une aimable consœur afin de sucer un type. Je téléchargeais les deux films tout en lançant quelques recherches sur le site vidéo, où je marquais comme favori une scène de partouze à voir aussi plus tard. Telle était en effet ma méthode : accumuler une série de photos et de vidéos pendant un petit bout de temps, puis me finir dans un feu d’artifice d’images. Incité par une liste de propositions connexes suite à mon “like”, je me retrouvais à regarder une autre pornstar qui lui ressemblait assez, dans une même scène d’orgie, un peu plus marquée SM pour le coup. La garce portait un collier et était menée par une fille en cuissardes qui l’obligeait à se pencher bien en avant pour offrir sa rondelle à deux types qui la pilonnaient sévèrement à tour de rôle. Désobéissant un peu aux ordres, je jetais un coup d’œil à Hélène. Occupée qu’elle était à me détailler, elle me capta immédiatement mais me fit un petit sourire et je remarquais que sa position avait changée. Encore une fois, ma sœur sembla avoir envie d’intervenir, cependant elle ne dit rien et fit un signe de tête vers l’écran. Je retournais donc à mon extrait où la dominante obligeait sa ...
    ... soumise à la lécher. J’empoignais mon sexe de la main gauche tandis que je cliquais de la droite. Effectivement, cette situation m’excitait et j’avais furieusement envie de me retourner vers Hélène pour lui faire profiter de cette nouvelle érection plutôt que de me répandre “pour rien” dans un mouchoir… Mais cette expérience aurait été bien courte. Un quart d’heure c’était à peine passé alors que mes séances duraient généralement plutôt 45 minutes, voire une bonne heure si j’avais de la chance. Je me forçais à m’arrêter de me toucher et reparti pour une exploration plus poussée, cette fois-ci par le réalisateur, car les images étaient soignées, éloignées des gros plans crades et des cadrages de bas de gamme. Cela dénotait des moyens et laissait entrapercevoir des castings de “Formule 1”. Je ne retins pas un ricanement alors qu’il s’avéra que ce gars avait une série “family taboo” qui allait jusqu’au numéro 4. Il n’avait pas osé aller jusqu’à l’extrême toutefois, où la censure américaine était vigilante, car dans les descriptifs, il s’agissait à chaque fois de “step- quelque chose”. Des demi-frères, des belles-mères ou autres cousinages plus ou moins éloignées… même si une fois dans l’action, les acteurs et actrices oubliaient l’aspect recomposé de leur famille pour offrir une image plus ou moins vraisemblable d’inceste direct. Je bloquais tout de même sur une scène de sœurs lesbiennes qui se ressemblaient, deux blondes plus menues dont les silhouettes étaient d’ailleurs proches ...
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