Une belle après midi sodomite
Datte: 26/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... même. Il le fait instinctivement sans que je sois obligé de lui dire quoique ce soit. Nous nous mangeons la bite mutuellement pendant un moment, l’excitation est redevenue forte, j’ai encore envie de l’enculer, de le châtier. Il en a envie lui aussi. Il me propose d’aller sur le lit et de l’attacher si ça me fait plaisir. C’est d’accord, nous retournons dans sa chambre, sur son lit recouvert de satin rouge et je l’attache aux barreaux du lit. Accroupi, jambes cartées, il m’offre son cul comme sur un autel. - Vas-y. Baises moi encore. Comme une chienne. Et je me remets sur lui. Je lui resserre le noeud de cravate comme il m’a fait tout à l’heure, reboutonne le gilet qui s’était un peu ouvert et resserre les passants du gilet. Ses fesses sont rouges de la fessée de tout à l’heure, je lui passe un peu de crème que je trouve près du lit. - C’est frais ! Je lui passe aussi la crème sur les couilles et sur la bite qui se durcit. Avec la crème j’ai également trouvé un martinet alors je ne résiste pas à lui en mettre une bonne. Il ne moufte pas durant toute la fessée, encaissant bien chaque impact et ne débande pas non plus. C’est bon signe. La fessée m’a remis en érection aussi. J’ai l’impression que chaque coup de martinet me fait gonfler un peu plus la bite. J’arrête avant qu’elle n’explose et continue en le sodomisant avec le manche en cuir du martinet qui fait office de godemiché. Cette fois il n’en peut plus. Il gigote pour se dégager mais il est bien attaché. Il me supplie ...
... d’arrêter, puis de continuer. Il ne sait plus ce qu’il veut, c’est que le plaisir est en train de le submerger. Je me masturbe tout en le godant et quand je suis bien dur, je l’encule à nouveau, en pénétrant d’un coup, à la hussarde et je me donne au maximum. Ca fait longtemps que je n’avais pas eu ce sentiment de puissance, ces derniers temps je devenais de plus en plus passif, même avec les femmes, et là tout d’un coup je retrouve toute ma virilité en enculant une chochotte. Quel pied ! Cette fois j’éjacule très vite au fond de son cul, avec puissance, je ne peux m’empêcher de pousser un cri, comme un cri de guerre. Lui, il est écroulé, soumis, vaincu aussi je le détache pour qu’il puisse s’allonger et je me mets à le sucer immédiatement, comme une récompense après toutes ces violences. Juste pour bien lui faire comprendre que je l’ai apprécié, que je l’ai vaincu mais pas humilié, que je veux aussi qu’il ait son plaisir. Il m’en est reconnaissant. Je lui vide les couilles en le faisant juter plusieurs fois. Il me regarde, en sueur, satisfait. Allongés cote à côte sur le lit, nous échangeons un long baiser bien baveux du sperme que j’ai encore dans la bouche comme au début de la séance. - Merci ! me dit-il - Merci à toi ! C’est toi qui a rendu tout cela possible ! Nous avons commencé la séance vers 13h et il est presque 19h ! On n’a pas vu le temps passer ou plutôt si on l’a vu passer et on en a profité ! Nous sommes tous les deux rompus. J’accepte sa proposition de prendre une ...