1. Vacances, sexe et exhib. (11)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... siège à l’approche du premier camion. Pat ralentit ; je vois distinctement le chauffeur. Je lui fais un coucou de la main et me caresse. Nous restons à sa hauteur quelques secondes, puis Pat accélère. À ce moment-là, le chauffeur envoie un grand coup de klaxon et un appel de phares. — Alors, les filles, convaincues ? — Ah oui ! Moi, je le fais. Et toi, ma chérie, tu le fais aussi, hein ? — Eh bien, pour une nana qui voulait à peine montrer un bout de fesse il n’y a pas si longtemps, tu me surprends de plus en plus, ma puce. — On n’avait pas dit qu’on voulait se surprendre et de faire des trucs de fous par amour ? demande Élodie à Tatiana. — Si, c’est vrai. Je t’aime, mon amour. — Bon, les filles, quand vous aurez fini de vous bisouiller, on pourra jouer, à moins que vous attendiez qu’on arrive à destination. Et puis mon Pat, vous allez le mettre dans un état pas possible. — Dis, Julie, ce ne serait pas plutôt ta main qui est en train de le mettre dans un état pas possible, comme tu dis ? Merde, elles viennent de me piquer. Élodie, placée juste derrière moi, enlève sa robe. Nous passons le premier camion ; elle se caresse. Klaxon : donc +1 « J’aime ». J’ai pris un carnet, fait quatre colonnes : trois à nos initiales et une pour les camions. Je comptabilise. Un camion plus un coup de klaxon = 1 point. Non, un « J’aime ». La formule est simple : Un camion + rien = 0 « J’aime ». Un camion + 1 coup de klaxon = 1 « J’aime ». Un camion + 1 coup de klaxon + 1 appel de phares = 2 « ...
    ... J’aime ». Nous commençons nos exhibitions à tour de rôle. Les camions défilent, les « J’aime » aussi, et les commentaires de plus en plus grivois car je peux vous assurer que quand des filles commencent à parler de cul, les mecs, à côté, ce sont des minets. Voilà une heure que l’on roule. Pat propose une halte ; nous acceptons. Sortie station-service de Lunel. Nous nous stationnons. Vite rhabillées, nous sortons de la voiture. J’ai envie de pisser, mais pas que : je suis trempée ; il faut que je fasse un brin de toilette. Nous pénétrons dans la boutique, je file vers les toilettes. C’est bien ma veine : il y a la queue. J’attends ; j’observe si on me regarde car mon tee-shirt est un peu transparent. Mon regard se pose sur deux femmes qui chuchotent je ne sais quoi. C’est sûr, elles parlent de moi en me dévisageant. Leurs yeux montent et descendent ; là, c’est bon : elles parlent de moi. Je vais leur rentrer dedans lorsque je me dis « Cocotte, n’oublie pas que t’es à poil dessous. Si tu bouge trop… » Bon, je croise les bras sur mes seins pour cacher la pointe de mes tétons saillants et je fixe d’un regard dur les deux mégères qui, comme par hasard, détournent la tête. Enfin mon tour. J’entre dans les toilettes, trempée de mouille, excitée par notre exhib, et lève mon tee-shirt. Non, je l’enlève directement. Le dos appuyé à la paroi, je me touche le sexe, je m’électrise toute seule. J’ai envie, je n’en peux plus… Je me masturbe fort, et en un rien de temps c’est l’orgasme. Je ...
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