Les Théâtres
Datte: 27/07/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
sauna,
hotel,
caférestau,
douche,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Résumé des épisodes précédents : «Les Jardins du Luxembourg » et «Au Bon Marché » Mélanie, avec laquelle j’ai sympathisé sur un site de rencontres en ligne, m’a demandé de nous voir une nouvelle fois, avec pour challenge, de trouver un endroit insolite où, éventuellement, nous pourrions aller plus loin.Je l’ai d’abord emmenée du côté de la fontaine Médicis, dans les jardins du Luxembourg où, sur un banc à l’abri des regards indiscrets, je l’ai, par mes caresses, amenée à un magnifique, mais discret orgasme, puis dans l’espace lingerie du Bon Marché où je lui ai offert de très jolis ensembles, mais aussi un body qu’elle a gardé sur elle, et où elle m’a gratifié d’une superbe fellation…Il est temps maintenant de finir notre randonnée des endroits insolites de Paris ! _________________________________________________ Avec notre joli sac du Bon Marché à la main, nous descendons l’escalator, bras dessus, bras dessous, pour rejoindre la sortie du Grand Magasin. Je plane encore après cette magnifique fellation et je me dis que le monde est plus beau quand vous êtes accompagné d’une belle femme qui, de plus, partage votre vision sensuelle du monde. Juste avant de passer la porte-tambour, Mélanie me demande : — Et maintenant, que fait-on ? Tu as encore d’autres belles surprises pour moi ?— Ça dépend. Tu continues à me faire confiance, et tu es prête à me suivre dans une autre découverte ?— Si c’est pour prolonger ces moments merveilleux, je te suivrai les yeux fermés… Et j’aimerais ...
... bien savoir pourquoi tu as voulu que je garde le body sur moi.— Tu verras, fais-je, accompagnant mon propos d’un sourire goguenard. Je l’emmène alors à la station de métro toute proche où nous prenons la ligne 10 jusqu’à Odéon. Nous avons de la chance, nous sommes assis l’un à côté de l’autre. Il y a trop de monde pour que j’ose quoi que ce soit, aussi restons-nous sagement côte à côte durant le bref laps de temps où nous empruntons cette rame. À Odéon, nous changeons pour le métro 4. Il est bondé aussi restons-nous debout serrés l’un contre l’autre, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Là encore, je n’ose aucun geste « déplacé » même si ma main s’attarde brièvement sur ses fesses, assez pour sentir la couture du body à travers sa jupe. Mélanie ne dit rien, mais elle me dévore des yeux, et je la sens toute frémissante contre moi. Nous descendons de la rame à Strasbourg-Saint-Denis et retournons à l’air libre boulevard Saint-Denis. Malgré le temps gris, les habituelles prostituées chinoises sont là, à guetter le client éventuel. Je suis trop bien accompagné pour leur accorder ne serait-ce qu’un regard, mais Mélanie qui ne connaît pas cette partie de Paris est surprise de leur présence en nombre. — Tu as faim ? Je connais un petit resto très sympa juste à côté… lui fais-je— Oui, ces émotions m’ont un peu creusée, me répond-elle. Nous prenons la rue du Faubourg-Saint-Denis jusqu’à la Brasserie Julien. Si ce n’est pas mon restaurant préféré dans le quartier, je sais y trouver une ...