1. Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Première fois

    Le site « Histoires de sexe » publie régulièrement les témoignages de couples dont l’époux est candauliste. Notre histoire est la combinaison explosive d’un mari candauliste et d’une épouse hypersexuelle. Je m’appelle Olga, j’ai 39 ans, je suis mariée avec Philippe depuis 2003. Je suis une jolie brune de 1m70 et de 56 kilos, avec de petits seins très sensibles. J'ai des longs cheveux noirs. Mon mari Philippe, 52 ans est candauliste. Depuis bientôt 10 ans, j’ai réalisé tous ses fantasmes, bien au-delà de ses attentes, car il a fait d’une épouse qui se voulait fidèle et sage une «salope intégrale». Pour ceux et celles que le candaulisme passionne, ils se rappelleront peut-être que nous avions raconté notre histoire sur un blog hébergé sur Erog, le blog de Philippe et Olga. Nous y avions décri notre parcours, sans rien cacher, photos à l’appui. Philippe, comme moi, avions besoin d’en parler. Le blog était aussi ouvert aux témoignages d’autres couples ayant connu une expérience similaire. Cette transparence, certains diront ce voyeurisme, ont eu des conséquences. L’absence de précautions a fait que nous avions été identifiés. Nous avons dû réagir, nos protéger et surtout protéger nos enfants. Nous avons changé de ville et nous avons fermé le blog. Aujourd’hui, nous nous sommes un peu « assagis » par rapport à la période la plus « chaude » de notre expérience candauliste, qui se situait entre 2007 et 2011, période où j’étais en couple avec Rachid, puis Hassan, qui vivaient sous ...
    ... notre toit et occupaient le lit conjugal, avec la complicité de mon époux légitime. Période au cours de laquelle j’ai eu de très nombreux amants et maîtresses. Depuis, nous continuons discrètement à vivre notre sexualité, parce que Philippe est heureux de voir sa chérie jouir sous les caresses et les assauts d’un ou plusieurs autres partenaires et que cela correspond aussi à mes besoins. Car le candaulisme de mon mari est une des caractéristiques de notre couple. Mais ce qui fait notre « combinaison » explosive est mon hypersexualité, que j’ai découvert dès mon adolescence. Si ce site publie de nombreux témoignages candaulistes, il ne mentionne pas l’hypersexualité. Certains diront qu’il s’agit d’un autre terme pour parler de nymphomanie. Certes la frontière entre nymphomanie et hypersexualité n’est pas étanche. Si la nymphomanie est une maladie, l’hypersexualité ne l’est pas. Ce qui frappe dans la nymphomanie, c’est l’esclavage auquel les femmes qui en sont victimes sont soumises. Aucune contrainte morale, sociale ou légale ne les retient. C’est un besoin, une envie assimilable à la toxicomanie. La nymphomanie est une maladie. A sa différence, la femme hypersexuelle a une vie sexuelle libre, riche et épanouie, qui suscite souvent le mépris. L’hypersexualité traduit un potentiel énergétique sexuel supérieur à la moyenne, comme d’autres l’ont dans un domaine intellectuel ou sportif. On parlera de nymphomanie quand les pulsions échappent à tout contrôle. Je suis originaire d’un ...
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