1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°802)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mais le Marquis d’Evans avait déjà tourné les talons. Le soir venu, après un bon bain salvateur dans une luxueuse baignoire aux robinets en or massif. Mûriana était détendue, si bien qu’elle resta nue sous son chaud, épais et si doux peignoir éponge aux liserés d’Or qui lui descendait jusqu’au talon. Sur sa poche poitrine il y avait les armoiries bleues et jaunes des Evans brodées de toute beauté. La ceinture de ce peignoir était aussi magnifique car elle avait l’apparence d’une longue tresse également brodée de filets d’or sur l’éponge blanche. Mûriana était bien. Elle appréciait cet amical accueil. Cependant une seule chose l’intriguait et elle n’arrêtait pas d’y penser. Pourquoi son hôte lui avait interdit d’aller dans l’aile gauche du château ? Et pourquoi n’avait-il pas voulu continuer sa phrase ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’. De nature curieuse, trop peut-être, Mûriana après avoir réfléchi décida de déambuler dans le château et de se diriger avec prudence vers l’aile gauche se disant qu’après tout, l’accueil de Monsieur le Marquis était assez courtois pour qu’Il lui reproche quoi que ce soit. Et puis elle voulait trop étancher sa curiosité ! Qu’est-ce qu il y avait de si secret dans cette partie du château laquelle le châtelain lui avait interdit de s’y rendre ? … Il restait une trentaine de minutes avant le repas juste le temps d’aller jeter un petit coup d’œil ! C’est ainsi qu’elle sortit de sa chambre, qu’elle longea le couloir feutré, elle ne rencontra ...
    ... personne. Arrivée au fond, elle descendit les larges escaliers au tapis rouge pour se retrouver dans le vaste hall d’entrée. Personne … Alors après avoir hésité un petit peu, elle se dirigea vers l’aile gauche de la bâtisse. Elle osa ouvrir une épaisse porte massive de chêne vernis. Rien, personne encore et donc encouragée de ne trouver âme qui vive, elle avança le cœur battant tout de même, sachant qu’en principe cet endroit lui était interdit. Au fond du couloir, un épais pilier circulaire soutenait un autre escalier mais celui-ci en colimaçon. Et ce qu’elle vit, était absolument surprenant à ses yeux, elle resta figée par la surprise, elle s’immobilisa. Là à quelques mètres d’elle, elle reconnut Walter debout en train de baiser par derrière une femme nue portant simplement un épais collier. Le majordome lui tirait les cheveux par la queue de cheval de la belle. La femme pliait ses reins en se baissant par le devant afin de donner de la rondeur à sa croupe laquelle subissait les assauts virils du sexe gonflé et dur de Walter. Mais ce qui commençait à exciter Mûrina après l’effet de surprise, était ce que disait le domestique ‘ : - Allez petite chienne, tiens prend ça dans ton cul de salope, tu n’es qu’une soumise parmi les autres, qu’une esclave du cheptel de Monsieur le Marquis, une chienne bonne à baiser’’ A ce moment là Mûriana compris ce que vous dire le Marquis par ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’ Elle compris ce qu’en réalité était son hôte. Mûriana aurait pu ...