1. Instantanés (5)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash,

    ... de fellations très convenues, distribuées comme on distribue les bons points en classe, un marin rompt la routine toute militaire qui commençait à s’installer. Déposant son fusil au sol, il s’agenouille entre les jambes de l’amirale qui ne peut réprimer un petit "oh" et un léger frisson lorsqu’il plonge sa tête entre ses cuisses et commence à lécher sa vulve. Ses larges mains légèrement tremblantes se posent sur la jupe bouchonnée, s’y attardent un instant avant de descendre sur la douce peau des cuisses dont la pâleur contraste avec le noir des jarretelles sous lesquelles se glissent ses doigts explorateurs. Sa langue de virtuose du cunilingus passe du clitoris aux fines lèvres qu’elle écarte du bout des doigts pour l’inviter à découvrir l’entrée de son vagin dégoulinant. Seule l’une des mains curieuses poursuit son chemin sur les bas de l’officier supérieur, l’autre se chargeant d’extraire le pénis de son propriétaire afin de répondre à un impérieux besoin de masturbation. L’avide bouche quitte le nid humide et douillet pour descendre le long des jambes gainées d’un noir si solennel, y abandonnant, au gré d’un baiser ou d’un furtif coup de langue, quelques traits brillants de salive... Le lent et extatique voyage se termine sur un escarpin impeccablement ciré que le matelot porte à sa bouche, en soutenant avec précaution la fine cheville de l’amirale. D’une main seulement, car l’autre ne saurait cesser d’entretenir la raideur qui s’affirme... — Sachez que j’apprécie le ...
    ... respect et l’attention que vous portez à l’uniforme, soldat. Vous léchez ce talon aiguille avec énormément de volupté, je trouve. Continuez... Oui, voilà, faites-le glisser entre vos lèvres... Pas trop vite... Sachez en profiter... L’amirale défait un à un les boutons brillants de sa veste d’uniforme qu’elle ouvre pour dégager sa poitrine. Ses mains moulent deux seins que l’on imagine bien fermes. Ses tétons pointent à travers le tissu tendu de la chemise blanche. Se redressant légèrement et inclinant la tête, elle laisse couler sur chacun d’eux un long filet de salive qu’elle étale du bout des doigts. Les yeux plantés dans ceux du marin fétichiste qui se branle de plus en plus fort, elle expulse deux nouveaux paquets de bave. Trempée, la chemise épouse les deux mamelles et leurs mamelons dressés que pincent les doigts gantés, et laisse apparaître par transparence le disque légèrement plus sombre des aréoles. — Levez-vous, ramassez votre fusil, et approchez. Le matelot haletant obéit. L’amirale cesse de faire rouler ses tétons entre ses doigts et enroule sa cravate autour de la trique qui se tend à hauteur de son épaule gauche. — Vous sentez ma main ? Vous la sentez qui accélère ? La douceur du tissu qui se froisse et glisse sur la fine peau de votre membre prêt à exploser ? Oui... Je le sens qui vibre... Mmmmm... je le sens qui vient... Voilà... Garde-à-vous ! C’est sur cet ordre ultime que le sperme jaillit sur ses décorations, dans le plus respectueux des saluts, engluant jet ...
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