Rencontre coquine en club échangiste, avec ma mère (2)
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Quelque chose me disait que ce n’était pas la dernière fois qu’elles feraient l’amour ensemble. Hugo et moi étions venus sur elles pour les prendre à nouveau. — Elle est bonne, ta mère, me lança Hugo, visiblement satisfait. — La tienne aussi ! J’adore la baiser ! Nous étions aux anges, nos mamans aussi. A nouveau lancés dans des va-et-vient délicieux, improvisant différentes positions plus ou moins acrobatiques, nous avions à cœur de combler nos mères. Elles gémissaient, criaient de plaisir. — Mon Dieu comme c’est bon ! Nous avons ainsi fait longuement l’amour jusqu’à nous laisser tous déborder par le plaisir et la jouissance. — Ha c’est bon ! Je viens ! cria ma mère. Moi-même je ne pus me retenir plus longtemps et j’explosai dans les entrailles de Martine. Nous décidâmes alors de faire une pause bien méritée. — Nous avons des fils formidables ! se réjouit ma mère. gqugssco — Oui, quel bonheur ! Quelle chance nous avons ! Toutes les mamans n’ont pas cette chance ! répondit Martine. — On va prendre un verre, mes chéris ? — Volontiers ! Nous nous sommes alors rhabillés et nous sommes descendus dans la salle principale du club où la soirée battait son plein. Maintenant il y avait beaucoup de monde, des ...
... couples, des filles dénudées qui dansaient de façon incroyablement sensuelle. Après avoir bu un verre bien mérité, ma mère me chuchota à l’oreille : — T’as pas envie de me prendre, mon chéri ? J’aime me faire baiser par d’autres hommes mais tu sais que c’est toi qui me donnes toujours le plus de plaisir. Ton corps et ta queue me manquent ! J’ai envie de te sentir tout au fond de moi. — Bien sûr maman ! Moi aussi j’ai toujours tellement envie de toi ! On remonte ? — Non j’ai envie de faire ça ici, pour que tout le monde puisse voir comme c’est beau un fils qui fait l’amour à sa mère. Il y a un lit juste là, viens ! Ce lit se trouvait juste à quelques mètres de la piste de danse, mais cela ne nous a pas empêchés de nous déshabiller et nous y installer, nus. C’était quelque chose d’absolument impossible dans une boîte de nuit classique : deux personnes qui décident de satisfaire immédiatement leurs pulsions sexuelles, et cela ne choque personne, bien au contraire. Ma mère se tourna vers moi, écarta les jambes, me présentant sa fantastique chatte, déjà bien élargie par le gros sexe d’Hugo. — Fais-moi l’amour mon chéri ! Tout de suite ! Je rentrai mon sexe à l’intérieur d’elle. J’étais à la maison, c’était le paradis !