1. Travaux routiers - Couplets 4 et 5


    Datte: 26/07/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, inconnu, nympho, grossexe, campagne, Collègues / Travail pénétratio, pastiche, humour, occasion,

    Avec moi veux-tu monter ?(bis) Pour me baiser comme un voyou. Marie-Amélie ne saisit pas les paroles que gémit Lisette. Tout au plus croit-elle deviner qu’elle mentionne une grosse queue. Grosse queue ? Il n’en faut pas plus pour l’exciter. Elle s’avance vers la petite clairière.— Je comprends mieux pourquoi les routes sont si peu praticables, mon cher Hubert. Note que notre homme a du goût, la fille est jolie et il a bien arrangé son petit nid d’amour. Mais il est temps que ce petit jeu cesse. Allez les interrompre, s’il vous plaît.— Vous n’attendez pas qu’ils aient terminé ? Laissez-leur ce plaisir. Cela ne saurait tarder.— Non, non, tout de suite !Hubert regarde sa patronne un sourire en coin. Il devine qu’elle espère profiter des bonnes dispositions du bonhomme, ce qui serait compromis s’il éjaculait.— À vos ordres, Madame.Il s’approche du couple en pleine action. Il hésite, ils sont si beaux ! Un geste impératif de Marie-Amélie le décide.— Eh bien ! C’est comme ça qu’on travaille ?— Hiiiiiii !Lisette épouvantée se redresse d’un bond, prend la chemise qu’elle utilise pour se protéger des regards et se tasse en tremblant sur l’herbe. Louis met plusieurs secondes à réagir. Son phallus triomphant arrache un cri de surprise à Marie-Amélie. Pour une grosse queue, c’est une grosse queue ! Il la lui faut, celle-là ! Et sur l’heure !— Hubert !Le chauffeur met quelques secondes à répondre. Lui aussi est impressionné par l’énorme engin. Il en ressent un peu de jalousie.— Oui, ...
    ... Madame.— Conduisez ce monsieur… comment vous appelez-vous, mon brave ?— Louis, pour vous servir.— Eh bien Hubert, conduisez monsieur Louis à la voiture, s’il vous plaît.Louis réalise enfin le guêpier dans lequel il s’est fourré. Si cette belle dame envisage de porter plainte, son avenir dans l’administration est compromis. Du coup il débande, au grand désespoir de Marie-Amélie qui espère que ce ne sera que passager. Le cantonnier se lève, remonte son caleçon et empoigne son pantalon.— Non, qu’il vienne tel qu’il est !La jeune femme retourne s’installer dans la voiture. Elle est à moitié étendue sur la banquette quand Louis se présente, poussé par le chauffeur.— Laissez-nous, Hubert. Allez réconforter cette petite, qui en a grand besoin.Le cantonnier reprend espoir. Cette femme ne resterait pas seule avec lui si elle lui voulait du mal. Il la regarde mieux. Wouahou ! Qu’elle est belle ! Autre chose que les paysannes qui font son ordinaire. Et ces bijoux ! Y a pas à dire, mais l’argent améliore beaucoup les choses ! La jupe de Marie-Amélie couvre les jambes jusqu’aux chevilles mais souligne la taille fine et les hanches épanouies. Quel cul elle doit avoir ! Ça doit être un sacré coup, se prend-il à penser. Que ne donnerait-il pas pour la baiser ! Il la dévisage de son sourire le plus enjôleur. Marie-Amélie fronce les sourcils, ce qui fait ressurgir les craintes de Louis.— Ainsi, voilà à quoi vous passez le temps au lieu de réparer la voirie qui en a bien besoin ?— Euh… Après le ...
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