1. Agnès Mon Initiatrice


    Datte: 29/07/2018, Catégories: Lesbienne

    ... visage se penchant entre mes cuisses. Elle extirpa mon slip avec ses dents et m'emboucha sans ménagement. J'avais droit à ma première bouche. Je gémis sous le violent et profond baiser. Ma dégustatrice m'agrippa le bassin , renversa mes jambes contre mon buste, où mon pauvre cœur battait la chamade, coinça ma tête entre ses cuisses serrées, m'interdisant ainsi tout mouvement, étouffant mes cris sous sa chair bronzée, et me rendit, mais avec ô combien plus de fougue et d'expérience, tous les plaisirs que je lui avais prodigués. Elle me dévora avec un appétit sans pareil, allant furieusement de l'un à l'autre de mes deux virginaux orifices. Ses doigts effilés et sa langue dardée savaient provoquer des fulgurances de plaisir que je n'avais jamais soupçonnées. J'offrais ainsi de bonne grâce, mon petit cul aux profondes percées de sa langue experte. Pendant plus de 20 minutes, elle se délecta goulûment de mes parties les plus charnues et les plus secrètes, au mépris de mes plus violent orgasmes, qu'elle me faisait accumuler de force. Je hurlais dans ses chairs. Se relevant enfin, les cheveux sur le visage, les lèvres béantes, elle se retourna à quatre pattes, cambrée, ls seins lourds, me rappelant à nouveau l'image altière d'un beau fauve. Je m'aplatis sur le matelas. Quelle nouvelle perversion allait- elle faire subir à la proie de ses désirs? Elle dandina sur mon corps, devant mes yeux, me montrant avec obscénité chaque morceau de sa peau et de ses deux seins. Ceux ci ...
    ... passèrent plusieurs fois devant mes lèvres. Elle alla ensuite chercher quelque chose, fébrilement, dans son sac de plage. Elle en sortit un objet long et blanc. Une cousine très délurée, m'avait déjà fait voir cette objet sur des photos cochonnes échangées avec sa correspondante Allemande. Je découvrais l'existence bien réel d'un godemiché. - Chérie! Fixe- toi vite ça!" Je saisis l'engin qu'elle m'aida à mettre en place vu mon manque d'expérience. Je me sentais bizarre affublée d'un sexe mâle. Elle se retourna et agita sa croupe somptueuse, comme dans un geste de franche invite. Elle s'écarta elle même les fesses. Ses doigts indiquèrent nettement la direction à emprunter. M'enhardissant, j'osais auparavant assouvir mon premier désir : déposer un fervent baiser dans la profonde séparation de ses fesses superbes. Ma langue se fourra facilement dans son petit orifice que je lubrifiais de mon mieux avant l'intromission. Elle me laissa faire, appréciant mes vicieux progrès. Je m'approchais alors avec précaution. Elle guida elle- même mon diabolique engin entre ses fesses écarquillées. J'attrapais ses hanches et la pénétrais attentivement. Dès qu'elle se sentit saillie, elle fit un bond, râla, rugit. Je me délectais de ce jeux pervers. Sentir cette bête d'amour sodomisée par mes soins et par un godemiché interposé, me comblais d'aise. J'apprenais vite. D'un geste lent, régulier et profond, je l'introduisais chaque fois un peu plus. Au bout de une minute, l'engin démentiel pénétrait ...