1. Pauline - années adulte (11)


    Datte: 29/07/2018, Catégories: Erotique,

    Chapitre 11 — Premier jour de reprise… Ça se fête mon grand accidenté. — Pas de moquerie, s’il te plait Nathalie ! Je viens de passer une heure dans les transports en commun, je ne suis pas d’humeur. C’est l’horreur ce truc. Ça se bouscule dans tous les sens, ça pue, ça fait du bruit. Y’a même un mec qui m’a dit « dégage de mon chemin, l’handicapé ! », un sale petit con en costume. Je suis sûr qu’il se la pète alors qu’il n’est que vendeur de tapis dans une supérette de merde ! Et encore, je ne te parle pas de ces couloirs interminables et des horaires annoncés qui n’arrêtent pas de changer. — Relaxe, beau gosse. Tu vas t’y habituer. Il y a des bons moments aussi. — J’aimerai bien savoir lesquels. — Parfois, tu en vois qui se mettent franchement sur la gueule, c’est plutôt amusant. Et, de plus en plus rarement, mais ça arrive encore, il y a un pervers qui se colle bien à toi et qui se frotte contre tes fesses. — … Tu dis ça en prenant un air excité… Ça va toi sexuellement ? — Moyen pour être franche. Mon homme a sa libido au point mort depuis que c’est fini entre nous deux. Ça l’excitait vraiment lorsque je lui racontais nos midis, avec tous les détails croustillants. — Et tes autres amants ? — Je fais une pause avec eux… Fais-moi fantasmer, et dis-moi comment c’est entre toi et Pauline. — A une seule condition, que tu m’amènes dans n’importe quel concessionnaire deux roues ce midi ! Je n’en peux déjà plus, je suis même prêt à rouler en scooter. Elle rit, elle me regardait ...
    ... avec des yeux pleins d’envies. Et elle s’approcha, m’enlaça pour me faire un câlin. Elle me serra fortement, elle commençait à me faire un peu mal et je lui ai dit « Je suis encore un peu sensible des côtes ». Elle se détacha alors de moi, me regarda en souriant avant de m’embrasser sur la joue, quasiment au coin des lèvres. Puis, elle s’éloigna pour sortir du bureau. Je lui dis alors : — Nathalie, j’aimerai beaucoup te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. — Mais, il n’y a qu’une seule façon dont j’ai envie que tu me remercies, et ce n’est pas possible. — Autre chose, je suis sérieux lorsque je t’ai demandé de m’emmener chez un concessionnaire ce midi. — Et moi, je suis très sérieuse lorsque je te dis que je suis en manque de toi. On n’a pas toujours ce qu’on veut. Et si tu remontes sur un deux roues, je te tue. — Viens chez moi ce soir. — Pardon ?... Que je comprenne bien… Pauline sera là ? — Oui. Viens avec ton mari, on aimerait te demander quelque chose. — … Tu éveilles ma curiosité. Ok, quelle heure ? — 20 heures. — Vaut mieux que je prévois une babysitteur pour mon fils ? — Mes enfants ne sont pas là. — A 20 heures, c’est noté. Je ne sais pas vraiment ce que Nathalie avait compris ou espérait, mais elle arriva plus sexy que jamais. Elle portait un chemisier entièrement transparent montrant la guêpière que je trouvais si jolie sur elle, une jupe trop courte pour cacher ses bas, permettant de voir la peau de ses cuisses nues et les attaches. Elle ne portait ni ...
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