Sur les contrefort de l'Oural (chapitre 3) - Histoires de Sexe

Sur les contrefort de l'Oural (chapitre 3)

... ainsi que tous les jours par n'importe quel temps, je faisais mes 10 km à la course et le cul à l'air. Après une année, il a eu une tumeur dans le ventre et avant de partir vers un lager d'où il n'est jamais revenu, il m'a dit :[user]« évite d'en faire plus que 4 par jour, le corps humain n'est pas fait pour cela, même si tu te sens capable. »[/user]– Mais au bout d'un an, je n'en pouvais plus, voir une femme nue ne me faisait plus bander du tout, ils étaient obligés de me forcer avec de lanourriture spéciale.À ceci correspondait l'arrivée des américains qui ont investi la ferme et là j'ai failli y passer car je ne parlais que le russe etl'allemand. Mais mon habillement, le kilt de mon ami qu'il m'avait cédé, sachant qu'il allait à la mort, m'a probablement sauvé une deuxièmefois la vie. Heureusement, il y avait un officier de OSS qui a freiné les noirs qui voulaient déjà me clouer au mur et il a compris que j'étais pasallemand, mais russe. Il m'a protégé et délivré du devoir de reproducteur. Je dois avoir quelques milliers de fils dispersés en Allemagne, mais jene vais pas faire de recherche. Ensuite, j'ai été transféré aux USA où j'ai eu le statut de réfugié, mais placé dans une école militaire liée à lasuccession de l'OSS, la CIA qui m'a préparé à retourner en Russie comme contact dormant et me voilà.– Bien tu en as eu une expérience. Bien de plus mouvementé que la notre, nous nous avons simplement survécu comme nos ancêtres. Qu'est-ceque tu comptes faire maintenant ?– ...

... J'aimerai bien resté ici, je ne tiens pas à devoir justifier mon parcours guerrier et ma nouvelle affectation.– Pas de problème, tu veux partager mes épouses ? Il y a juste Anastasia et Anne-Laure qui sont en quelques sortes chasse-gardées.– Tu sais avec le nombre de coups tirés pendant la guerre, je ne suis plus très attiré par le sexe, mais si cela revient, ce sera volontiers. Pour lemoment, de partager la couche de ma mère me suffira.– Comme tu veux. C'est bien agréable d'avoir un bras de plus pour faire tourner le clan. On vit essentiellement de troc où les femmes vendent lesfourrures et peaux des bêtes que nous sommes amenés à tuer.– J'aimerai savoir si tu as une cache sûr et indétectable pour ranger le matériel que j'ai amené avec moi des USA. Cela ne doit pas être tropéloigné, ni trop proche, une fois par semaine, je dois recevoir un message selon un rythme convenu à l'avance.– Oui, on verra cela demain. J'ai pas encore pu encaissé les rouges, même si ils ont fini de gagner la guerre.– En réalité, ils n'ont fourni que la chair à canon, le reste, c'est les USA qui leurs ont aidé naïvement, tous les matériaux de base, de nourriture etune bonne partie des armes leurs ont été livrés à Mourmansk.– Ce que tu m'apprends là ne renforce pas mon amour pour les communistes. J'en ai rien à foutre de leurs théories. Mais ma vie actuelle me plaîtbien, Hans m'est aussi d'un grand secours, mais ce qui est surprenant, c'est que notre devineresse ne t'a pas vu venir.– Si je le savais, mais ...