1. stage prometteur (1)


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Hétéro

    Bonjour à tous, je me présente: Emma, 19 ans, brune de 1m75 pour 55 kilos, et un petit 90B. Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée l’an dernier. J’étais étudiante en droit, et je devais effectuer un stage en juridiction. J’avais été acceptée dans un petit Tribunal en province, chez un juge aux affaires familiales (JAF). Le premier jour, je m’étais réveillée aux aurores, stressée. Les magistrats ne sont pas forcément des gens très chaleureux. Je me suis préparée avec soin; sous vêtements sexy mais pas vulgaires, une petite jupe moulante noire, et un chemisier cintré mettant ma poitrine en valeur. Une paire de talon aiguille et un maquillage léger agrémentaient le tout. J’arrive au tribunal, la boule au ventre, et je me présente au policier de garde. Il m’indique le bureau de mon maitre de stage. Je monte les escalier et ouvre une porte. Premier obstacle, le garde m’a dit d’aller au fond du couloir, mais le couloir va aussi bien vers la droite que vers la gauche. C’est alors qu’un homme sort de son bureau, il me regarde, me voit hésitante et me demande: "Vous êtes Madame F?", je lui réponds que oui mais qu’il peut m’appeler Emma. Il a l’air gentil, je me sens plus à l’aise. Il m’installe dans son bureau, et après s’être présenté rapidement et m’avoir parlé de ses fonctions, il me propose de lire des dossiers. J’accepte, il pose devant moi une pile de dossiers, parlant presque toute de familles en difficulté. J’attrape un nouveau dossier, quand celui si s’échappe ...
    ... de mes mains et glisse par terre. En me penchant pour le ramasser, j’entends un craquement qui n’a pas échappé au JAF. Je me relève et il me demande si tout va bien. Je lui dis que oui, mais voyant son regard gêné, je baisse les yeux. Je comprends que le craquement venait de mon chemisier, les deux premiers boutons n’ont pas résisté. Ils pendent lamentablement, et révèlent mon soutien gorge, un push up en dentelle blanche. J’enfile mon manteau pour cacher le drame, et je m’excuse, rougissante et de nouveau mal à l’aise. Le JAF prend le parti d’en rire, me disant que ce n’est pas grave. La glace est de nouveau brisée. Quand je lui pose des questions, son regard s’égare souvent vers mon décolleté sauvage. Mais je ne suis pas gênée, au contraire, ça me plait. Ca m’excite. Et puis le personnage n’est pas mal du tout: il n’est pas très grand, noir, avec un sourire ravageur, des yeux pétillants. A la fin de la matinée, il me propose de déjeuner avec lui, mais je lui dit que je préfère rentrer chez moi me changer, j’habite à deux pas du tribunal. Devant ma réponse, il me dit "Dommage" avec un clin d’oeil. Je rentre et j’enfile un chemisier ample, je ne vais pas faire la même erreur deux fois. Je retourne au tribunal, je retrouve le JAF là bas, et je passe l’après midi dans son bureau à lire encore une tonne de dossiers, pour l’audience du lendemain. Vers 18h, sa journée finie, le JAF me demande ou j’habite. Je lui explique, et il me dit alors que c’est sur sa route, et qu’il va me ...
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