1. Premenons nous dans les bois...


    Datte: 30/07/2018, Catégories: Hardcore, Gay Mature,

    -c'est encore loin?.-Non. L'aire est juste à deux cent mètres. Après il y a un petit chemin forestier. La nuit est tombée depuis un moment. Il fait vraiment tout noir. Je suis la silhouette de Julien qui connait parfaitement le chemin. Après le parking nous suivons le sentier sur deux cent mètres quand sur la droite j'aperçois de la lumière à moitié recouverte du feuillage des arbustes. Nous nous frayons un passage entre les buissons hauts et épais lorsque nous rencontrons un groupe d'individus éclairés par une lampe-tempête. Tout de suite je reconnais la compacte silhouette d'une femme de petite taille mais de forte corpulence. Un type vient vers nous nous demandant qui l'on est. Julien énonce son prénom et le type nous laisse passer. Ainsi je vois cette terrible madame Lopes ou en tout cas je distingue ses traits grâce à la lampe posée au pied d'un grand arbre. Avec le gorille devant je compte en tout quatre hommes que j'imagine pour sa protection. -Alors petite salope. Tu nous as rapporté de la chair fraiche à ce que je vois?!... Voyons à quoi il ressemble ton petit copain... Madame Lopes se saisit de la lampe pour me la brandir à la figure. -Oh...oh... quel âge tu as mon lapin ?. -Trente ans. -Oh là là!... je me rappelle de mes trente ans, j'étais déjà très salope à l'époque et depuis... ça n'a fait qu'empirer!. Les quatre hommes se mettent tous à éclater d'un rire gras.Madame Lopes possède effectivement un visage à la fois joli et vicieux. Courte chevelure sombre et des ...
    ... traits de visage lusitaniens. Ce soir elle est entièrement vétue de noir ;d'une jupe courte et d'un manteau de cuir pour l'instant fermé. Elle porte de lourdes chaussures de sécurité aux pieds. Ses larges cuisses appétissantes me font envie. Elle s'en aperçoit. -Qu'est ce que tu regarde petit vicieux? Je te fais bander c'est ça?...Prononçant ces mots elle caresse ses belles cuisses, son entrejambe puis ouvre son manteau de cuir,juste assez pour révéler un malheureux soutien-gorge étouffé par une imposante et très lourde poitrine. ...tu aime, hein mon cochon?. Si tu fais tout ce qu'on te dit et que tu reste sage, tu y auras peut-être droit... peut-être... Je sens à peine Julien en train de me dégraffer le pantalon. L'un des quatre hommes tient la lampe, les autres se sont éloignés faisant le guet. Ils ont l'air d'avoir tous à peu près le même âge ,autour de cinquante ans. Certains sont barbus, d'autres bedonnants, pour ce que je peux en voir ils ont des bonnes têtes de dégueulasses. Mon acolyte me caresse la raie des fesses. J'adore. J'adore me retrouver dans ces bois en pleine nuit automnale à me faire sucer au milieu de tous ces gens que je ne connais pas. L'air est humide, frais, et il flotte comme une odeur de moisie. Julien commence à me sucer, c'est vraiment une bonne suceuse, très excercée. Il a dû en connaitre du monde avant madame Lopes. -oui c'est ça suce le bien, ensuite tu lui lècheras les couilles. Ma suceuse s'attarde sur mes boules qu'elle appréçie visiblement ...
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