1. Homo sapiens Pornoensis (2)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et cela déclencha le rire de l’autre mec dont la queue fut inondée dans l’affaire. Le mec qui avait joui se retira et, comme il passait devant moi, j’attrapai sa grappe pour le sucer. Il dut faire attention à ne pas marcher sur le gars couché sous moi. Il se laissa faire avec contentement. Le peu de vocabulaire que Teuboku avait réussi à m’inculquer me fit comprendre les mots "femme, bon" et l’équivalent de "plaisir". Puis il disparut vers les cases et j’admirais la rondeur de son beau petit cul. Celui-là, il faudrait que je le retrouve à tout prix ! Mais, déjà, il avait été remplacé par un autre type qui avait joint sa queue à celle de son camarade dans ma chatte toute foutrée. Il paraît que cela glissait mieux. J’étais assez surpris que les mains ne viennent pas m’agripper les nichons ou les bouches me sucer les tétons. J’en fis part à Teuboku, qui s’étend renseigné fut pris d’un grand fou-rire. Là encore, la crainte retenait les assauts des candidats. Ils trouvaient mon poitrail tellement gros et laiteux qu’ils craignaient qu’il n’éclatât. Pourtant, leur femmes ont plutôt de sacré belles mamelles, bien rondes et fermes, aux tétons très saillants et ces appendices sont d’autant plus attirants que la petite taille des femmes les fait paraître énormes. Teuboku dut encore une fois payer de sa personne pour venir me bouffer les seins et tripoter les tétines. Ils ne connurent plus de repos de la soirée et furent triturés dans tous les sens. Un deuxième mec vida ses couilles en ...
    ... moi et, celui qui partageait ma chatte avec lui à ce moment là ne permit pas à un autre de venir. Il me mit en levrette et se déchaîna. Désormais, c’était une tournante Les types m’enfilaient, me chevauchaient longuement, jutaient et se retiraient. Teuboku avait reprit ma tête entre ses mains pour bien me faire bouffer toute la longueur de son zob. Je le sentis se crisper soudain puis des jets abondants envahirent ma gorge. Je faillis étouffer, et avaler de travers ce sperme abondant que je n’attendais pas. Voyant le filet de foutre qui s’échappaient de ma bouche lorsqu’il se retira, un autre homme vint s’y soulager. Ainsi prise par devant et par derrière, je compris qu’il n’y en aurait plus pour très longtemps et que je pourrais enfin avoir la conversation que je souhaitais sur les "grands hommes noirs de la forêt". Il ne devait plus rester que quatre ou cinq mecs qui attendaient de soulager leur crampe quand il se fit un certain vacarme. Autour de nous la foule grossissait. En fait, les hommes qui avaient joui et qui étaient rentrés dans leur cases avaient raconté leurs exploits, excitant tous les mâles de la maisonnées. Ceux-ci sortaient donc pour demander leur tour. Et j’eus bientôt tout autour de moi plus d’une centaine d’hommes de tous âges, bite en l’air qui espéraient me grimper et parlementaient avec le chef pour obtenir ce droit. Trop c’était trop. 18 mecs, passe encore. Mais tout un village ! Je fis donc traduire que, restant dans le village plusieurs semaines, les ...