Les hôtesses entrent en piste
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
fff,
jeunes,
douche,
Oral
69,
fdanus,
jouet,
initff,
... au ras des fesses, et un grand débardeur qui laisse apparaître une poitrine superbe, dont la suspension ne gagne rien à l’ajout d’un soutien. — Je viens me faire un autre café, cela ne te gêne pas que je le prenne avec toi ?— Bien sûr que non, mon bouquin attendra. Tu n’as pas cours aujourd’hui ?— Non la période de révision vient de commencer, et les cours sont suspendus.— Pas mal de travail alors ?— Non c’est léger car j’ai fait un stage, et je n’ai que deux examens. Que comptes-tu faire aujourd’hui ?— J’ai des courses à faire, car je suis ici sans rien pour me changer, et je n’ose pas rentrer chez moi encore. Je sais que cela peut paraître ridicule, mais j’ai peur aussi de me retrouver seule dans la rue, même en plein jour.— Je comprends très bien. Veux-tu que je t’accompagne ? On pourrait aussi profiter du soleil, en terrasse, ou au parc, ou les deux.— Ce serait super, mais as-tu le temps ?— Pas de souci, je préfère le soleil à mes bouquins ! Il faudrait aussi que tu remplaces ton pansement, car il n’est pas très beau.— Sorry, je n’y ai pas pensé. Nous voilà donc dans la salle de bains et Magali nettoie ma plaie et remplace le pansement. Le bleu de la veille se change en jaune déjà, et un pansement plus adapté permettra de le cacher complètement. Les autres petites blessures sur les jambes et le ventre ne nécessitent plus rien. — Penses-tu qu’un baiser aidera à guérir, comme chez les enfants ?— Je ne suis pas certaine, mais cela ne fait jamais de mal ! Magali m’embrasse ...
... alors fougueusement et remonte mon pyjama à la recherche de mes seins. Je fais le même mouvement chez elle car j’ai vraiment envie de toucher la poitrine qu’elle m’a montrée tout à l’heure. C’est un moment de grande sensualité, qui bien entendu me fait mouiller. — Magali, ma chérie, j’apprécie énormément ces moments de tendresse, mais je ne suis pas certaine de vouloir aller plus loin maintenant. Je ne suis pas encore très en forme, et pas mal courbaturée. Par contre, d’ici quelques jours, je pense que tu pourras beaucoup en apprendre sur mon corps et m’en montrer du tien.— Je ne sais pas ce qui m’a pris, pardonne-moi.— Ce n’est rien, ma belle.— On se prépare et on y va ? Magali m’emmène dans le quartier pour les courses et je me sens rassurée de sa présence. On remonte tout cela à l’appartement, et nous repartons pour une salade au soleil, sur une petite place pavée, d’un des villages de Paris. Nous parlons de tout et de rien, et rigolons pas mal. Magali est une chouette fille. J’insiste pour l’inviter car je gagne ma vie et pas elle. L’après-midi se déroule dans un parc sur l’herbe. Il fait 28 °C, et nous avons enfilé nos bikinis. La séance bronzette nous permet de faire mieux connaissance. — Magali, comment on fait pour les frais de la coloc ? À qui dois-je payer le loyer ?— Pour la bouffe, tu mets chaque semaine 50 € dans la boîte en fer au-dessus du frigo. Celle qui va faire les courses se sert dans le pot. Pour les corvées, il y a un tour de rôle et c’est Sandra qui ...