Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (7)
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... revanche, elle aime beaucoup (et moi aussi) que de temps à autres j’éjacule sur elle. J’adore lui arroser copieusement le visage ou les seins. La tête en arrière, les yeux fermés, le sourire aux lèvres, Maman se laisse asperger la figure avec un plaisir évident ! Elle a du sperme jusque dans les cheveux. Ensuite, de ses mains, elle se fait un « masque » de ma liqueur. Ou dans l’autre cas, c’est sa poitrine qu’elle caresse longuement, pour bien étaler mon foutre, qu’elle laisse ensuite sécher, jusqu’à sa prochaine toilette. — J’adore conserver sur moi l’odeur de ton élixir d’amour, me dit-elle. Dans son parler quotidien, Maman n’aime pas la vulgarité. Lorsque l’heure est au sexe, ses propos relèvent souvent d’une extrême tendresse, ponctuée d’expressions poétiques telles « élixir d’amour », « gouffre de la vie » pour sa chatte, ou « nectar féminin » s’agissant de sa cyprine, ou encore « petite étoile du bonheur » concernant un orifice que je vous laisse deviner. D’autres fois, elle se laisse aller, alignant sans retenue des mots très crus. Elle se libère ainsi au gré de ses envies, choisissant elle-même la manière dont elle chemine vers l’extase. Sodomie, pas sodomie, idem. Je la laisse toujours choisir, m’adaptant sans problème à son humeur du jour. Maman m’avoue un jour que comme je l’avais supposé, qu’avant notre relation elle avait eu deux copains, avec qui elle sortait à tour de rôle. — Juste pour le cul et… les excellents restaurants où ils m’invitaient régulièrement. ...
... C’était en quelque sorte mon salaire. Tu vois, quand je te disais que j’étais un peu pute !... Mais maintenant, je suis ta petite pute pour toi seul… A la suite de tels propos, comment ne pas prendre très vite la direction de sa chambre ?... Malgré tout, Maman et moi conservons une certaine indépendance. Nos lits nous servent à baiser et rebaiser sans arrêt, mais, s’agissant du sommeil proprement dit, chacun dort dans sa chambre. Ne pas se fier aux apparences, malgré nos appétits sexuels et nos échanges verbaux souvent très hard pendant l’action, nous sommes réellement amoureux l’un de l’autre. Si j’offre souvent à Maman de la lingerie très coquine ou des jupes bien trop courtes, elle trouve aussi très fréquemment à son retour du travail plusieurs roses rouges posées sur le canapé, et qui n’attendent qu’elles. Et là, j’ai droit à des : — Oh mon chéri, elles sont magnifiques, hummmm, quel parfum, merci, merci, je t’aime. — Moi aussi je t’aime Maman, ma chérie adorée. Il nous va nous falloir bien du courage pour mener cette vie. Pas entre nous deux, car c’est l’idylle parfaite, mais vis-à-vis des gens. Personne n’est au courant de nos rapports incestueux. Une seule de ses amies (dont je vais bientôt parler) est dans la confidence. Le reste de notre famille, nos voisins, nos amis, nos collègues, trouvent seulement bizarre qu je n’aie pas « pris mon envol », ou que j’abuse de la situation à me faire à mon âge dorloter par Maman. Comment leur avouer que nous nous aimons et formons ...