Exquise déchéance (2)
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
Trash,
... l’autre. J’ai toujours la bouche ouverte, langue pendante, disponible, ridicule. Quant il arrête cette torture de mes mamelles, je sens l’exquise douleur diffuser. Michel met alors fermement ses grandes paluches de chaque côté de ma tête, et sans précaution vient enfoncer sa tige dans mon gosier. La curée commence. Directement, il se met à baiser ma gorge à un rythme effréné, s’enfonçant comme un salaud dans mon œsophage, donnant de grands coups de reins, comme il baiserait ma chatte ou mon cul. J’émets des borborygmes gluants tandis que son braquemard me déboîte les mâchoires. Des glaires viennent saloper sa queue, et dégoulinent sur mes nibards. Oui mon chéri. Fais toi du bien avec ta salope de femme. C’est mon rôle, mon but dans la vie, soulager ta queue et toutes celles auxquelles tu me livreras en pâture. C’est difficile parfois, mais toujours si bon... J’étouffe, je suis à deux doigt de dégueuler, quand il me laisse respirer. -Allez... à toi Franck... Tu vois... Tu peux te lâcher... Comme un enculé, vas-y. Les deux hommes me massacrent la gorge à tour de rôle, se repassant le téléphone pour filmer. Insultes, crachats, claques sur mes seins. Douleur, haut-le-cœur, jouissance. Je fous de la bave partout. Mais de la mouille aussi. J’ai dû déjà bien maculer le sol cradingue de mes sécrétions et je suis à deux doigts de jouir sans avoir été pénétrée. Aucune idée du temps que cela dure avant que le routier ne fasse: -Putain, je vais pas tarder à larguer la purée! ...
... -Attends... Pas comme ça, lui répond Franck, avant d’ajouter à mon intention: toi, debout, et retourne-toi! Les mains contre le mur. Penche-toi. Encore! Plus bas salope. Voilà... Et écarte les jambes. Mon cul bombé empli du plug est tendu vers les deux hommes, mes nichons pendants. Franck fait un commentaire salace sur le plug et sur la quantité de mouille qui dégouline jusqu’à mes chevilles. Michel retire l’objet de métal d’un coup sec, m’arrachant un cri qui ne peut que s’entendre du dehors, laissant mon trou de balle béant. -Allez Franck. Pète lui le cul, elle attend que ça. Oui, je n’attends que ça. Me faire ramoner en profondeur et en largeur, bien à fond, me faire remplir à coups de bite. Franck ne se fait pas prier et c’est violemment qu’il s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Il en est même étonné. Mon cul en a vu d’autres. Il aspire la large bite jusqu’aux couilles. -Merde, fait Franck, ça rentre comme dans du beurre! Elle a dû en voir des kilomètres de bite! Puis il commence à me bourrer. A vraiment me bourrer. Je sens qu’il ne va pas tenir longtemps à ce rythme et je contracte mon trou de balle pour le sentir au maximum. Même en faisant cela, mon cul a tellement été régulièrement pilonné que j’ai du mal à sentir sa queue comme je l’aimerais. Les godes monstrueux dont Michel me fourre depuis deux ans on fait leur effet et seuls des gros calibres vigoureux me procurent ce plaisir dont je raffole. La défonce anale sans pitié, c’est le truc qui me fait vraiment jouir comme une ...