1. Jennifer


    Datte: 01/08/2018, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, copains, grosseins, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus,

    ... avais marre, maintenant, et j’étais sur le point d’arrêter. Combien avais-je vu de photos ? Je ne saurais le dire. Je suis passé à la suivante et… quelque chose a cloché : on ne voyait plus de cul sur l’écran. C’était la photo en pied d’un nouveau modèle, tout habillé… MOI ! Ma bouche s’est exclamée, d’elle-même : — Putain, on dirait moi ! Sauf que ça pouvait pas être moi… parc’ que des photos comme ça, jamais j’en avais fait faire ! Cette pute m’avait volé mon visage ! Une ressemblance pareille, ça ne pouvait pas être vrai. Je ne vais pas vous les énumérer toutes, parce qu’il devait y en avoir une bonne centaine, de ce modèle-là, mais elle a fini comme les autres, les doigts et les godes plantés dans ses deux orifices. Rien ne m’avait été épargné : ni les lueurs d’invite, ni les yeux humides, non plus que les trous luisants de sécrétions… je me demandais même si sa langue réintégrait sa bouche, de temps en temps ! Je ne sais pas comment je me suis rendue dans ma chambre, cette nuit-là, jusqu’à douter lui avoir souhaité une bonne nuit. Je me rappelle juste m’être tournée et retournée, sans trouver le sommeil. De masturbation, il n’a pas été question, parce que trop de doutes tournaient dans ma tête. Maintenant, je l’entendais presque chaque nuit, pleurer dans son lit. Le jour, je la croisais et je pouvais voir ses yeux rougis à force de pleurer. Et elle ne me parlait toujours pas. Et Luc est arrivé. Je lui ai tout raconté, sans rien omettre. Il a gardé le silence un moment ...
    ... avant de me dire : — Il y a quelque chose qui m’étonne, dans ton histoire…— Ah bon… quoi ?— Ben… toi !— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Je ne comprends pas pourquoi tu n’oses pas lui parler, toi, avec la facilité que tu as à parler avec les gens !— Ben… c’est pas si facile que ça, en fait…— Ben apparemment, pour toi, ça l’est !— Tu penses ?— Oh oui… tu veux que je te parle un peu de Raymond, pour que tu comprennes mieux à quel point ça l’est ? Je sentais, à son débit, qu’il commençait à s’animer… s’exciter un peu, mais il me regardait toujours aussi tendrement, alors je lui ai demandé : — Oui, explique-moi, parce que moi, j’ai pas eu l’impression d’avoir fait grand-chose.— Pas fait grand-chose… alors là, c’est la meilleure, s’est-il exclamé, en levant les yeux au ciel. Écoute-moi, mon amour, a-t-il enchaîné, en se calmant. Mon oncle et ma tante, tu ne sais pas à quel point ils s’aiment ces deux-là. Ils m’ont raconté comment ils se sont rencontrés, comment ils sont tombés amoureux, se sont mariés… comment ils ont appris qu’ils ne pourraient avoir d’enfant. J’étais très jeune quand ils m’ont révélé la vérité sur ma naissance… pour faire court, ils sont réellement mon oncle et ma tante. Tu ne connais pas toutes les épreuves auxquelles ils ont dû faire face pour obtenir mon adoption, à la mort de mes vrais parents… et je ne te parle même pas des parents de Geneviève… de véritables dragons… Ma tante a épousé mon oncle : elle n’était même pas majeure, à l’époque ! Ça fait plus de ...
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