1. Flash-back balnéaire (3)


    Datte: 01/08/2018, Catégories: Hétéro

    ... deviens folle. Pourquoi est-ce que je résiste ? Je cède et écarte doucement mes fesses. Son gland me déchire l’anus. C’est horriblement douloureux mais je ne sens rien. Mon excitation prend le pas sur toute sensation. Ooooooooh ! Ça y est ! La moitié de sa bite, peut-être. Il me prend par le cul au milieu de la foule, il m’encule juste derrière Thierry. Je suis surexcitée ! Je sens son souffle chaud dans ma nuque puis vers mon oreille. — Je parie que ton mari n’est jamais venu ici… Je fais non de la tête. — Alors que toi, à une période de ta vie, tu aimais beaucoup ça… Je fais oui de la tête. — Et tu te faisais souvent sodomiser… Oui. — Tu as envie que je t’encule ? Oui. — Ici, là, maintenant ? Non. — Plus tard ? Non. — Demain ? Oui. — Demain après-midi à la plage ? Non. — Demain soir ? elpekkvw Oui. Il passe ses mains sous mon débardeur et les pose sur mes seins. Il me pelote et pince mes tétons. Ses petits coups de rein me rendent folle et je regrette la sécheresse de mon anus tant j’ai envie qu’il vienne entièrement dedans. Je suis ailleurs, loin, absente. Ce que je fais est inconsidéré et totalement inconscient. Puis, soudain, il cesse tout contact. Ses mains, son sexe, son souffle dans mon cou. Tout cela quitte mon corps d’un coup et je me sens violemment abandonnée. Je ne veux pas qu’il arrête, j’en veux encore ! Reviens, je t’en supplie… J’ai envie de hurler, de pleurer ! Reviens ! Ta bite, s’il te plait, encore un peu de ta bite dans mon cul ! Je lève ma jupe, écarte ...
    ... mes fesses, ouvre mon petit trou bien dilaté. Sodomise-moi encore un peu !! C’est tellement dur, j’ai tellement envie ! Il ne bouge pas et les applaudissements me ramènent violemment à la réalité. Je lâche ma jupe. Tandis que Thierry aident les enfants à se lever, je me tourne vers l’homme : — Demain, 19h, devant l’entrée du camping des Palmiers. Il s’en va. Je retrouve un peu de consistance en rentrant à notre gîte. Je m’occupe du petit tandis que Thierry couche la grande. Un peu après, à la cuisine, il me cherche, me caresse. Je le suce nonchalamment. Ce soir, j’ai la tête ailleurs et son sexe me dégoûte presque. Je me lève et nous allons dans la chambre. Thierry s’active entre mes jambes. Je ferme les yeux, mais je ne parviens même pas à penser à l’homme ou à Eric. Tout est si différent… Je simule un orgasme. Alors qu’il me prend ensuite en levrette, Thierry me fait remarquer que j’ai l’anus très rouge — Je suis un peu constipée en ce moment… Je gémis un peu et Thierry jouit enfin. Je l’allonge sur le lit tandis qu’il va à la douche. Quand il revient, il m’embrasse et s’endort rapidement. Je vais à mon tour à la salle de bains et me masturbe longuement. J’ai plusieurs orgasmes et je me surprends à me doigter également l’anus. Au réveil, je sais que la journée va à nouveau être difficile. Contrairement à la veille, je ne cherche pas à le mettre à distance de mon esprit. Je l’imagine, je le sens, je mouille. Je me rends à cinq reprises aux toilettes pour me masturber. Cela ...