Face à cam - Histoires de Sexe

Face à cam

... longtemps. Alors donc, votre mission – si vous l’acceptez ! – sera plutôt de… décoller assez vite. J’ai des réserves à évacuer au plus vite et je ne tiendrai pas des heures ! Et surtout, surtout, surtout, j’ai une furieuse envie de voir vos founes, les filles ! De vous voir vous traîner en salopes intégrales, en chiennes lubriques et déchaînées ! Mais, tout d’abord, question : vous avez sélectionné quelques accessoires ? Se levant, Antoine s’avance vers l’ordinateur en expliquant : — Bien entendu, je vais te montrer ! Saisissant la caméra, il l’oriente vers la table basse du salon où sont sagement alignés quelques joujoux : un gode cristal de taille impressionnante, un gode vibrant double pénétration, des chapelets de boules, vibro divers et… un magnifique concombre encapuchonné dans une capote rosée ! — OK, bien vu, maintenant Antoine, ce serait bien que tu conserves un peu le contrôle de la webcam, tu entreras en piste un peu plus tard… Quant à vous mes petites dames, va falloir vous remuer ! Alors donc… Lena, petite salope, tu vas m’avancer ton petit cul jusqu’au bord du fauteuil, et tu vas m’ouvrir tes cuisses. Et libère tes seins s’il te plaît ! Soulagée de se débarrasser de l’oppressante ceinture, Lena obéit sans tarder, masse sa poitrine endolorie avant de l’exposer fièrement ; elle glisse ensuite ses fesses jusqu’au rebord du siège. Lentement (petit sourire et regard très effronté), elle ouvre les jambes, écarte les cuisses, et expose sans vergogne le petit fendu : ...

... un bel abricot, bien charnu, tout propret-lisse-nickel, surplombé par un mont de Vénus bien rebondi et simplement marqué par l’étroite bande verticale d’une toison soigneusement étrécie. Pas encore épanouie, la moule perle déjà pourtant de cette délicieuse rosée que j’aime tant laper. Sans être une femme-fontaine, n’exagérons rien, Lena possède tout de même une sérieuse propension à mouiller abondamment dès qu’elle est excitée, et la caméra est heureusement assez précise pour je distingue le début d’inondation. Gaïa, toujours assise sur l’accoudoir lorgne avec un intérêt non dissimulé le petit trésor découvert et je réalise que lors de nos deux premières rencontres, les deux petites garces n’ont pas réellement eu l’occasion de se câliner. Qu’à cela ne tienne, elles vont être servies ! — Gaïa, je te vois bien gourmande à reluquer ta copine, tu ne serais pas du genre à brouter du minou par hasard ? L’intéressée hoche vigoureusement la tête, comme un pantin, elle dit non avec la tête, mais dit oui avec les yeux ! Menteuse ! Ces yeux légèrement plissés, ce sourire mutin, cette petite langue qui pointe, et la main impatiente qui vient brusquement de plonger entre ses propres cuisses infirment définitivement ses dénégations. — Dommage, ma poulette, dis-je en entrant dans son jeu, mais il va falloir y passer ! Adoptant une mine faussement désolée, la petite garce feint de capituler sous la contrainte. — Pas tout de suite, suis-je obligé d’ajouter très vite pour stopper ses velléités ...