Une chienne docile
Datte: 02/08/2018,
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... préférerais que ce soit moi qui te le foute dans le cul ? À quatre pattes, pour que tout le monde voit ton petit trou s’ouvrir et tes mamelles pendre jusqu’au sol ?— Oh non… Je… Non…— Inutile de faire ta mijaurée, tu as envie que je t’encule, je le sais ! Peut-être même que tu prends plus de plaisir par derrière ?— Non… Non, s’il vous plaît !— Alors obéis ! Maintenant ! Fabienne a presque hurlé ces derniers mots et Charlotte a même sursauté. Docile, elle a commencé à se branler frénétiquement avec le gode. Elle était comme un automate, effrayée par Fabienne, j’avais l’impression qu’elle n’avait plus conscience de ce qui l’entourait. Ses mouvements sont progressivement devenus plus naturels, et pendant qu’elle se godait avec entrain, j’ai vu son corps onduler en cadence et sa respiration s’accélérer en quelques minutes. Sa main gauche pinçait les tétons et griffait la peau si blanche de ses seins. Elle se mordait la lèvre, gigotait dans tous les sens et n’arrivait pas à enfoncer le gode suffisamment loin pour calmer son excitation. Elle donnait l’impression de vouloir se transpercer le bassin tellement ses gestes étaient rapides. Elle était toujours coupée du monde, dans sa bulle. Mais ce n’était plus à cause de la honte ou des cris de Fabienne. À cet instant, le plaisir et le désir ont pris possession de son corps. J’ai vu dans ses yeux un déclic s’opérer. J’ai compris qu’elle m’appartenait pour de bon désormais, que je pouvais tout lui demander et qu’elle m’obéirait au ...
... doigt et à l’œil. Son éducation n’était pas pour autant terminée, mais elle venait de faire le choix d’abandonner sa conscience, sa personnalité et sa vie d’avant pour devenir MA CHIENNE. Une relation unique entre ma chérie et moi a démarré ce jour-là et ne prendra fin que le jour où l’une de nous deux rejoindra l’au-delà. Voyant que M. Babinet était satisfait, Fabienne s’est approchée de Charlotte et lui a brusquement retiré le gode des mains. — Manifestement il est à ta taille ! N’est-ce pas Charlotte ? L’essayage est terminé. Sylvie, je suis désolée d’accélérer les choses et d’interrompre cette scène touchante, mais j’ai pris beaucoup de retard pour l’ouverture du magasin.— Nonnnnnn… Laissez-moi jouir, je vous en prie !— Ce n’est pas à moi d’en décider. Tu négocieras avec Sylvie !— S’il vous plaît…— On verra ça à la maison, rhabille-toi Charlotte !— Mais… Je… Je peux pas ! Vous voyez bien dans quel état…— Tu cherches des prétextes, ma belle ! J’ai fini par reconnaître qu’elle ne pouvait pas prendre les transports en commun dans cet état (ses vêtements ne cachaient pas complètement les traces de son plaisir) d’autant plus qu’elle pouvait à peine marcher, encore sous le coup de l’émotion et l’excitation. Jamais à court de surprises pour ma chérie, j’ai eu une idée. — Bon, écoute, je vais payer le gode à la caisse avec Fabienne. Laisse-moi le temps de régler une ou deux bricoles avec Fabienne, et je te jure que dans cinq minutes chrono tu pourras jouir !— Ohooo ouiii ! Merciiii ! ...