1. monsieur Priape (1)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régale à l’observer ainsi, la bouche déformée par l’énorme gland! Plus rien n’existe maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforce d’enfoncer le plus possible l’incroyable queue dans sa gorge mais elle ne peut avaler que quelques malheureux centimètres tellement son membre est gros. Plus rien ne compte, semble-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prend à s’enfoncer comme elle peut la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforce d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore. Tout en me masturbant frénétiquement, je l’encourage de la voix. — Oui, ma chérie ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond ! Lèche- lui les couilles ! — Une bonne pompeuse, reconnait Guy. Clarisse s’est agenouillée à coté de Patricia pour avoir sa livre de chair et lui dérobe ce gros nœud. Paul l’encourage: — Suce-le bien, ma salope, tu les aimes bien aussi, hein, les grosses queues ! Et elle branle Guy frénétiquement. — Bouffe-lui les couilles ! Elle l’écoute, elle suce, elle pompe, elle avale les grosses boules velues pendant que Patricia branle cette formidable hampe des deux mains. Elle s’interrompt par moment pour me souffler : — Ca c’est de la vraie bite de cheval! J’ai tout d’un coup envie de la baiser. Je me place derrière elle et je l’a prends par les hanches. Je ...
    ... m’enfonce sans résistance dans son petit con baveux. Bon sang comme c’est bon ! Elle est trempée ! Je me déchaîne, je la pilonne sans ménagement. Ça m’excite de voir cette énorme sexe prit par ses deux bouches. Paul a suivit mon exemple et pilonne la chatte de sa femme. — Vous faites bien d’aléser vos femelles car elles vont souffrir avec moi. Nous informe Guy. Curieuse requête que de solliciter d’un mari qu’il prépare son épouse à se faire défoncer par ce pieu gigantesque! Pourtant, sans hésiter, je la remonte très haut, la ramonant de plus belle. Complaisamment, ma femme, se cambre un peu plus. — Quel beaux culs ! s’exclame l’étalon. Il se penche en avant et caresse les fesses rebondies de nos femmes. Ses mains malaxent les globes avec une grande douceur. Moi, de mon coté, de plus en plus enflammé, je m’enfonce profondément dans la chatte douce et chaude de ma garce de femme. Elle a cessé de le sucer, tant je la secoue, accrochée simplement à l’énorme pieu de ses deux mains, le visage plaqué contre son bas-ventre. Elle geint de plus en plus fortement. À un moment, il se penche plus avant et, d’une ample caresse, écarte les deux globes de ses fesses pour glisser un doigt fureteur sur la petite rosette brune de ma femme. Nous haletons tous les quatre comme des forcenés. Mon épouse, s’abandonne sans retenue maintenant à ce doigt qui fouille sa rondelle, et à mon chibre en feu qui s’enfonce au plus loin qu’il peut. Plus rien ne compte plus que cette frénésie de plaisir qui nous ...