1. La fragrance d'une fleur


    Datte: 02/08/2018, Catégories: fh, jardin, odeurs, intermast, nopéné, lieuxpubl, internet,

    ... m’approcher assez d’elle : mon plan de lui murmurer bonjour dans l’oreille tombait à l’eau, mais je m’en fichais assez car je pouvais enfin l’admirer des pieds à la tête. Il s’agissait d’un joli brin de fille, petite (dans le mètre cinquante ou soixante j’aurais dit), avec quelques rondeurs sans que cela gâche l’ensemble, des yeux vert clair, une chevelure descendant sur ses épaules et châtain, avec quelques reflets roux, et un sourire craquant mettant en avant des lèvres qui me donnaient quelques envies de dégustation. Elle portait un chemisier simple, pas du tout transparent (hélas), et un jean ni taillé trop bas, ni très moulant. Je devinais quand même deux seins qui auraient agréablement rempli mes mains, et une paire de fesses que j’aurais bien caressée, même à travers le tissu du jean. On se fit la bise, tout souriants, et on prit la direction du parc et d’un banc sous quelques arbres afin de nous protéger de l’orage qui s’approchait. On discutait de tout et de rien, très sagement, mais je sus dès qu’on fut sur le banc que ma journée se finirait bien. Naturellement, sans rien dire, elle s’assit contre moi, et me laissa passer mon bras sur son épaule que je caressais à travers son chemisier, tandis que mon autre main prenait une des siennes : elle m’avait avoué qu’elle adorait qu’on lui caresse les mains et que cela finissait par la rendre moite, je comptais bien vérifier cette allégation… Notre discussion avança tranquillement, alors que quelques gouttes commençaient ...
    ... à tomber autour de nous. Je finis par lui dire que j’étais ravi de la voir enfin et de surtout l’avoir à mes côtés, avant de lui planter un bécot très sage sur la joue « en guise d’acompte pour la suite ». Elle me regarda alors avec un grand sourire, et m’embrassa comme si c’était la chose la plus naturelle au monde. Ce que j’aime dans un baiser, c’est qu’il n’y en a pas qu’une version : chaque femme que j’ai connue embrassait à sa façon, et j’adore découvrir ce nouveau baiser, ce nouveau ballet de lèvres et de langue… Elle adorait mordiller, attraper ma lèvre entre les siennes, jouer de ma bouche sans la pénétrer de sa langue. Elle avait un goût sucré qui me plut aussitôt. Ce premier baiser fut court, mais délicieux. On continua à discuter, mais nous nous interrompions régulièrement pour nous dévorer, littéralement. Je voyais une lueur grandir au fond de son regard, et aimais sentir sa respiration s’alourdir quand, une fois qu’elle m’avait dégusté, elle posait sa tête au creux de mon épaule. J’en profitais pour caresser son visage, son cou, dégrafer un bouton de son chemisier… Profitant enfin d’une accalmie, nous décidâmes d’aller dans un autre endroit du parc, et ce fut main dans la main que nous avançâmes. Nous finîmes par trouver un banc protégé sous les arbres, adossé à une haute haie, une petite colline artificielle pour nous cacher des passants… qui ne passaient pas trop, vu qu’il se remettait à pleuvoir à grosses gouttes. Nous avions bien commencé, la suite fut aussi ...