1. Un soutien bienveillant (1)


    Datte: 03/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ville… Mais je m’ennuyais alors j’ai vécu un peu, puis ait rejoint ma femme ici et […] » Durant près d’un quart d’heure, voilà notre trio en pleine conversation, parlant de tout et de rien. Sandra est détendue, se réchauffe et en profite pour se confier davantage. La nuit commence à tomber et la faculté est totalement déserte. Notre belle métisse a un sursaut d’angoisse. « Mais, je n’ai plus de bus !! Désolée, il va falloir que j’y aille. -Attends, on va te ramener, si tu veux -Ne vous en faites pas, je vais me débrouiller, répond Sandra gênée… -De toute façon, il faut que l’on rentre aussi. De notre côté, tu as notre soutien pour ton avenir et nous garderons ce qui s’est passé dans cette salle pour nous. Nous comptons sur ta discrétion, Sandra. -Ne vous inquiétez pas… Je mets mes chaussures et on y va alors. » La belle remet ses ballerines noires, réajuste son sac et suit ses professeurs. La montée dans la voiture se fait discrètement, personne ne doit les voir. C’est donc avec l’attention digne d’un gardien de prison que notre trio quitte les lieux. Dix minutes de route plus tard, nos deux professeurs se garent et laissent Sandra à quatre cents mètres, de façon à ne pas mettre en danger la réputation de leur muse. « Merci… Je n’oublierais jamais ce qui s’est passé. Je me suis beaucoup amusée et cela restera vraiment entre nous. Je vous vois pour les oraux alors ? — Pour moi non, répond Pierre. Pour Didier c’est possible. Ne t’en fais pas, nous aussi avons adoré ce moment ...
    ... privilégié avec toi. Comptes sur notre discrétion. Bon retour et prends soin de toi et restes belle. Même si nous ne nous faisons aucun souci à ce sujet. » Sandra, gênée, sourit et regarde au sol. Elle ouvre la portière et s’apprête à rentrer chez elle. En consultant son téléphone : deux appels en absence et un message sur son répondeur… C’était sa mère qui s’inquiétait de ne pas la voir rentrer. Elle prépare une excuse, continue sa marche en s’enfonçant dans la nuit et ouvre le portail de sa maison, en faisant toujours attention à la marche, non visible depuis le trottoir puis entre chez elle. Elle pénètre dans le couloir : « Maman ! Je suis rentrée.. Excuses moi de ne pas t’avoir prévenue mais je suis restée travailler tard et je suis restée manger chez Lucie. — Envoies moi un SMS, même un petit, je préfère cela à rien du tout. — Je suis désolée. Oh, je vais te prendre une crêpe » Sandra s’installe à la table et raconte sa journée avec sa mère, toujours aussi fusionnelle. Puis notre héroïne d’un soir, pénètre dans sa chambre, allume son ordinateur et repense à cette journée mémorable. Tout en surfant sur Facebook, la tête ailleurs et les yeux dans le vide, Sandra se rappelle des caresses dont elle a fait l’objet, des sensations qu’elle a vécues, des émotions qu’elle a ressenties et du plaisir qu’elle a pris. Difficile de retomber dans la monotonie du quotidien après une telle épopée. La belle ne peut se concentrer davantage et éteint son ordinateur. Pensive, elle s’allonge ...
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