1. La porte s'ouvre


    Datte: 27/07/2017, Catégories: fh, jeunes, copains, fépilée, vacances, piscine, amour, massage, Oral pénétratio, confession, nostalgie, regrets,

    Il était une fille qui m’aimait bien et que j’ai repoussée. Nous suivions le même cursus à la fac, et elle avait coutume de se rapprocher de moi pendant les cours, de coller son épaule tout contre la mienne. — Je ne vois pas ce que le prof vient de noter au tableau, les étudiants des rangs de devant me gênent, disait-elle. Je sentais la chaleur de son épaule à travers son vêtement. Parfois, ses doigts effleuraient ma main, une mèche de ses cheveux me caressait l’oreille, son souffle s’égarait contre mon cou. Je soupçonnais une motivation licencieuse à ce comportement, mais la demoiselle ne m’intéressait guère, aussi ne lui proposais-je jamais de visiter ma chambre d’étudiant. Elle avait de longs, très longs, si longs cheveux noirs ! Et des formes pleines et entières que tout homme aurait rêvé de recueillir au creux de ses mains. Son corps était un appel à la luxure et sa démarche transpirait la féminité. Ils étaient nombreux, sans doute, ceux qui auraient voulu la serrer dans leurs bras, mais la jeune femme semblait avoir jeté son dévolu sur le seul homme qui ne voulait pas d’elle. Elle finit toutefois par se lasser d’attendre. Aujourd’hui je l’ai perdue de vue ; je ne sais ce qu’elle fait ni avec qui elle le fait, et je regrette de n’avoir su saisir ma chance, car son souvenir est revenu me hanter au cours de mes nuits d’insomnie et je ne peux trouver le repos qu’en m’imaginant lové contre l’ardeur de son désir. Dans mon rêve érotique qui se répète chaque nuit, je suis ...
    ... allongé à son côté, le long d’un transat, au pourtour de sa piscine occupant tout le jardin de sa maison du Sud de la France. Elle est étendue sur le ventre, recouverte d’un maillot deux pièces d’un noir d’ébène. Le soleil brûle nos peaux avec de plus en plus d’insistance, et j’entends mon amie me supplier de lui passer un peu de crème solaire… Émergeant à peine de ma léthargie, je me lève docilement, prêt à obtempérer aux ordres qu’elle me donnera. Je décide de commencer par ses jambes que l’été a déjà commencé à dorer. Je dépose précautionneusement un peu de baume du haut de ses cuisses jusqu’au bas de ses mollets. Quelque peu hésitant, les premières phalanges de ma dextre entrent en contact avec sa cuisse droite. Ma main finit d’épouser la forme de sa chair et j’entame le massage. Je procède lentement. Une jambe à la fois. Je m’attarde sur le revers de son genou, descends tranquillement jusqu’à sa cheville aussi frêle que celle d’une enfant, m’occupe de son talon et de sa voûte plantaire. Elle gigote, rigole et gémit quelque peu au moment où je titille ses orteils. Je masse son autre jambe avec tout autant d’application, et je sens ma verge se dresser, tendre mon maillot comme la voile d’un grand mât. Je prie pour qu’elle ne remarque pas le trouble qui m’affecte. Mes mains s’en vont caresser ses hanches, passent sous la ficelle latérale de son maillot sans faire de détour par ses fesses d’une pâleur laiteuse. Mon amie tend les bras derrière son dos et dégrafe la fâcheuse pièce ...
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