1. L'étalon aiguille (10)


    Datte: 04/08/2018, Catégories: Transexuels

    ... caresser la nuque tandis que de la gauche, elle retroussa ma minijupe en cuir pour glisser son phallus de latex dessous. Alors, elle souleva ma cuisse et me demanda d’enrouler ma jambe autour de sa taille. Ainsi positionné, l’extrémité du gode venait coulisser sur le satin tout le long de ma raie fessière, au gré des mouvements lascifs qu’elle entama. Je poussai un gémissement. — Ça te plaît? — Oh oui ! — Tu veux que je continue? — Oui. Fais tout ce que tu veux ! Sa main droite quitta ma nuque pour aller caresser mon soutien-gorge, tandis que la gauche me caressait les fesses et jouait avec mapetite culotte. Au bout de cinq ou six minutes, elle m’invita à m’allonger sur le ventre. — Et surtout, reste bien détendu. Concentre-toi sur le plaisir que je te donne…. Elle s’allongea sur mon dos et continua à me caresser partout. Elle me pinçait les tétons comme s’il s’était agi de vrais seins. Puis elle fit glisser mon petitslip satiné en découvrant d’abord juste le haut de mes fesses sur lesquelles elle déposa un doux baiser. Elle découvrit ensuite mon anus et glissa son doigt sous la culotte qu’elle venait de retourner. Elle massa ainsi ce qu’elle appela mon "petittrou d’amour" jusqu’à ce que je me mette àmouiller vraiment, puis elle finit de faire glisser mon sous-vêtement, me laissant les fesses à l’air sous la mini retroussée. Elle alla se planter devant Philippe. — S’il te plaît chéri, suce-moi. Et laisse bien de lasalive dessus afin que je ne fasse pas mal à Sam…. — ...
    ... D’accord. Regarde bien, Sam, regarde, ça va te plaire, je parie. Je me retournai sur le côté et constatai qu’il en profitait pour donner avec ses doigts un nouveau plaisir à Tiffanny. Elle revint ensuite vers moi, les yeux brillants. — Ça va? — Oui, ça va. — Laisse-moi faire, je vais t’écarter les jambes. Tout va bien se passer. Elle s’exécuta et positionna son phallus artificiel à l’entrée de mon anus. Elle poussa doucement et commença à s’introduire en moi. — C’est bien, tu vois, on n’aura même pas besoin de gel. Tu mouilles comme une nana ! Elle continua à pousser ainsi jusqu’à ce que le gode entier soit planté en moi. Ma respiration se fit de plus en plus courte lorsqu’elle commença à me "faire l’amour". Elle ne disait pas un mot, je sentais juste son souffle de plus en plus rauque sur ma nuque. Un plaisir inconnu montait en moi, dépassant la douleur, et qui pour une fois ne passait pas par mon phallus mais semblait venir de plus loin, de l’intérieur de moi. Entre deux onomatopées, j’implorais Tiffanny de continuer ses va et vient au creux de mes reins. Alors que j’allais atteindre l’orgasme, Philippe lui demanda de changer de position. Elle passa ses jambes par-dessus mes cuisses écartées et se redressa sur les genoux. Elle reprit alors ses mouvements en me chevauchant, superbe amazone androgyne que je pus admirer grâce au miroir que Philippe eut l’attention d’orienter de manière adéquate. J’étais à présent tellement excité que le gode coulissait en moi sans effort bien que mon ...