1. Trois femmes un soir d'été (3)


    Datte: 04/08/2018, Catégories: Transexuels

    ... étais trop belle pour être honnête petite salope. On va vérifier si tu mérites ton élection. Il baisse son short et son caleçon dans le même temps, pour me présenter un pénis aussi imposant que celui de son collègue. N’ayant guère le choix, je le prends en main et commence à le branler pour le faire grandir, puis je lui administre la même fellation qu’à Maxime, avec la même douceur et les mêmes mouvements. Je le sens venir, mais il s’arrête, et s’adresse à son pote : — Eh Dimitri, elle suce vraiment bien cette petite, je suis jaloux de Max qui a pu en profiter plus longtemps haha ! Tu veux essayer ? L’autre s’avance, et dans ma lancée, je lui inflige le même traitement, je le fais chavirer rapidement, quand il commence à me tenir par la tête comme Maxime tout à l’heure pour donner son rythme. Excitée comme pas possible, je leur donne tout pour les satisfaire, quand soudain je sens une présence derrière moi, qui me fait me pencher en avant. Je comprends que Rémi est dans mon dos et s’apprête à me sodomiser à son tour quand il relève la jupe. Sans capote, sans ménagement, il pose son gland à l’entrée de mon anus pour s’avancer dans mon cul ouvert comme dans du beurre, puis me pilonne avec frénésie tandis que je continue de m’occuper de Dimitri, me prenant la tête dans son pubis sous les coups infligés dans mon cul. Maxime, pas en reste et déçu de ne pas m’avoir fait jouir en lui, se glisse en dessous de moi pour me sucer, et à un moment donné tout part en vrille, Dimitri ...
    ... s’enfonce dans ma bouche, m’envoyant toute sa semence, Rémi s’enfonce au fond de mon cul pour jouir à son tour, et moi je me décharge dans la bouche de Maxime. J’avale tant bien que mal le foutre âcre de Dimitri, puis il me lâche et fait le tour, remplace Rémi et vient s’enfoncer dans mon cul distendu, sa bite provocant des bruits de succion dus au mélange des foutres et du lubrifiant anal. J’encaisse tant bien que mal ses assauts, sans plus vraiment prendre de plaisir, il vient de jouir donc a récupéré de l’endurance, je le laisse me foutre de grands coups de boutoirs en espérant une fin rapide. Au bout d’un interminable moment, je le sens se décharger au fond de moi, espérant prendre congé après et rentrer. Mais eux décident qu’ils n’en n’ont pas fini avec leur dévidoir à foutre, et je sens une autre bite s’approcher, Maxime veut en profiter une dernière fois. — Allez, une dernière et tu iras te coucher, on aime bien laisser les gens partir avec le ventre plein… Une fois leur méfait accomplit, les 3 animateurs bien vidés et moi bien remplie, ils s’endorment à moitié dans leur salon. Maxime m’aide à me relever, je remets mon tanga et réajuste rapidement mes fringues. J’attrape mon sac à main, puis marche en direction du mobil-home, en boitant un peu, les escarpins ne m’aident pas et je n’ai pas de solution de rechange, le sol étant trop hostile à une marche pied-nus. C’est d’autant plus inconfortable – et appréciable qu’il soit tard et qu’il n’y ait personne dehors – car je sens ...
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