-
LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (6x14)
Datte: 27/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... je crois que cela se fait. • T’es une vraie cochonne Duchesse, tu as raison. Il ouvre la ceinture de son pantalon et sort son mat, je pourrais le sucer mais je veux faire honneur à son travail et faire ce que j’ai promis, je l’enjambe et il veut me prendre par la chatte. • Eh, preux chevalier une promesse est une promesse, la voiture marche mon anus est à toi. Je lui entoure le tort de mes bras et je le laisse glisser en moi dès que je sens son gland bien positionné, je souffle à chaque millimètre gagné tellement il est gros mais mon corps est prêt à tout accepter même si pour la première fois depuis qu'il me saute le plaisir est inexistant. C’est fait il bouge dans mon fondement, j’ai l’impression qu’il remonte en moi comme les fers rouges que subissaient les empalés au Moyen Âge, j’ouvre la bouche pour voir si ma langue va sentir le gland remonter jusqu’à elle. Et puis je commence à sentir des petites sensations comme si mon corps mais plus mon cul sortait de la torpeur créée par un narcotique comme chez le dentiste. Je monte moi-même jusqu’au plus haut pour retomber lourdement, à un moment je vais trop loin et sa bite retrouve la voie naturelle, un seul allé retour et l’orgasme montent en moi, j’ai l’impression que je suis devenue folle de mon cul, moi qui avec Pierre vivais toujours sur la défensive. • Merci pour la voiture, j’espère avoir rempli ma part du contrat, mais il faut bien manger aussi je retourne au taf. • Revient quand tu veux, si le cabanon est libre tu ...
... seras la bienvenue. Je remets mes vêtements quittés depuis que je suis arrivée et je reprends le volant en direction Chalon pour reprendre un ticket et me retrouver sur mon lieu de travail, avant de passer le péage je m’arrête au magasin de sport qui est là et au rayon sport américain j’achète une batte pour ma sécurité en espérant que la grosse Bertha en restera éloignée. Je suis distraite en pensant à Bertha et au lieu de m’engager vers Paris je prends direction Lyon, je vais rouler jusqu’à Tournus et retourner vers Paris. Je suis perturbée quand je repense à la grosse Bertha et je me rends compte que je loupe la sortie et je file en direction de la station d’autoroute où elle a frappé ma voiture, je touche la batte à mon côté avec l’envie d’aller lui parler du pays à armes égales. Là encore je me souviens que je suis passiviste et pourquoi vouloir combattre alors qu’il y a assez d’espace de jeux sur cette autoroute. Trente kilomètres plus loin la station de Mâcon nord est une possibilité que je gagne de quoi survivre quelques jours, mais il fait encore jour alors je m’arrête au restoroute pour prendre un café car le bourguignon et autres plats copieux m’obligent à sauter un repas. À mon côté sur un tabouret de bar un garçon aussi beau gosse que Ludo mange un sandwich coca. Il me regarde et semble me dévisager. • Se connaît-on ? • J’ai l’impression, mais je veux éviter de faire un impair. • Dite toujours à bien vous regarder moi aussi j’ai l’impression de vous connaître. • Sur ...