1. DEPART EN PERMISSION


    Datte: 05/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Cette histoire s’est passée, il y a longtemps, quand il y avait encore un service militaire. Je m’appelle Steve, et j’avais 20 ans à l’époque. J’étais , comme beaucoup de jeunes hommes, enrolé pour un an dans l’armée nationale. Pour plus de facilité, je vous ramène bien des années en arrière. Nous sommes Vendredi, et c’est jour de départ en permission. Pour moi, comme beaucoup d’autres de ma compagnie, l’armée a jugé drôle de nous affecter, à l’autre bout de la France, à 950 km de notre contrée d’origine. Du coup, les permissions ont 24h de plus, mais, c’est toujours trop court. A 17 heures, nous prenons un bus qui nous emmène à la gare la plus proche . Dans cette région de l’est, les casernes sont nombreuses, et le train qui nous emmène vers Paris est rempli de bidasses. Avec deux copains, nous sommes quasi inséparables. Natifs de la même région, nous avons fait nos études ensemble, et nous retrouvons affectés au même endroit, tous trois travaillant au mess des officiers. Deux heures après le départ nous voici à la gare de l’Est. Après quelques péripéties métropolitaines, nous voici sur les Champs Elysées. Sylvain, l’un de mes copains, nous entraine pour diner dans un nouveau type de restaurant appelé FAST FOOD, dont le premier vient d’ouvrir dans la capitale. La bouffe est discutable, mais on sent bien que la formule va plaire. Après ce frugal repas, nous déambulons sur les champs, nous retournant sur les jolies parisiennes. Il est bientôt l’heure de rejoindre la gare ...
    ... d’Austerlitz, car le train pour Toulouse part à 23 heures. Nous arrivons assez tôt, pour pouvoir bloquer un compartiment. Nous nous étalons sur les banquettes, nos volumineux sacs à côté de nous, et nous fermons portes et rideaux, pour dissuader les importuns. Au fur et à mesure de l’arrivée des voyageurs, la porte est entrouverte à plusieurs reprises mais voyant l’occupation des lieux, elle se referme sans que quiconque entre. L’heure du départ approche, et nous pensons avoir un voyage à dormir tranquillement dans ce compartiment, car il n’y a que deux arrêts : Limoges, et Gourdon, qui concernent peu de gens. Cependant, alors que nous entendons le chef de gare annoncer le départ. La porte s’ouvre sur une jeune femme qui jette un œil sur nous. En général les femmes seules, en voyant la lumière éteinte, passent leur chemin, mais celle-ci, attrape une valise dans le couloir et entre dans le compartiment. Elle passe entre mon pote Sylvain et moi, et se dirige vers la fenêtre. Un quart de la banquette, à côté de moi est libre, et elle va manifestement s’y installer, face à Grégoire, mon autre copain. Elle ote son manteau qu’elle accroche au porte-manteau, le long de la cloison, et entreprend de hisser sa valise sur le porte-bagage. Grégoire se lève et l’aide à soutenir le poids du bagage. Elle est vétue d’un pantalon de toile écrue, qui moule un fessier petit mais bien arrondi. Quand elle lève les bras pour pousser sa valise, son gilet en laine remonte, ainsi que la chemise au ...
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