L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... d’embarquement – j’avais mis ça sur le compte de son appréhension, elle n’avait jamais pris l’avion – je dois dire que si subitement l’hôtesse était sortie en plein vol pour se mettre à faire des claquettes sur l’aile, je n’aurais pas été plus surpris. Pas possible, elle est en train de se foutre de moi. Pourtant, le regard qu’elle me jette, à la fois infiniment inquiet et plein d’espoir, me laisse à penser qu’elle est bien sérieuse. Que faire ? Oui, j’aime ma femme. Oui, comme dans tous les couples qui vivent ensemble depuis des années, la passion a hélas fait place depuis longtemps à beaucoup trop de routine. On n’a pas trente-huit ans, deux grands enfants et presque vingt années de vie commune sans que cela n’écorne quelque peu le tableau idyllique des premières années de l’amour. Et puis, madame n’a plus jamais le temps. Jamais le temps pour un câlin, pour un geste tendre ou pour un déjeuner en amoureux. Et moi, certes, je l’aime, mais je commence à en avoir assez d’éternellement dormir sur la béquille… Alors, sans trop y réfléchir et en me disant que Jennifer a écrit noir sur blanc qu’elle ne veut pas mélanger le cœur et le cul, je me tourne vers elle pour lui glisser quelques mots à l’oreille. Elle ne m’en laisse pas le temps, et m’intime de me taire en me mettant un doigt sur la bouche. Alors, puisque que tel est son souhait, je me penche vers elle, et nos langues se mêlent aussitôt en un fougueux baiser. Au bout d’un long et merveilleux moment, visiblement soulagée, ...
... elle se détache enfin de moi et, toujours sans un mot, sort de son sac une seconde lettre, qu’elle me tend également. Alors là, ce n’est plus l’hôtesse faisant des claquettes sur l’aile et en plein vol, c’est Sarko et tout le gouvernement défilant à poil au même endroit et avec une plume dans le cul. J’en ai tellement la mâchoire qui se décroche qu’il me faut quelques instants pour réaliser qu’elle vient de prendre ma main et est en train de la guider, en passant sous la couverture, jusque sur son genou. Sans bien comprendre ce que je suis en train d’accepter, je la laisse faire, et je reconnais aussitôt la douceur caractéristique du nylon. Au point où j’en suis, je ne peux plus reculer. Alors, pour surprenante que soit l’invite, autant aller jusqu’au bout et essayer de tester si elle est réellement prête à faire ce qu’elle a écrit. J’en profite donc pour remonter tranquillement un peu plus haut sur sa cuisse, jusqu’à la limite de la jupe. Je verrai bien sa réaction à ce moment-là… Mais, à ma grande surprise, non seulement elle me laisse faire, mais son sourire exprime clairement sa satisfaction. Alors, puisque la voie semble libre, autant continuer, je me glisse donc doucement sous l’étoffe un peu raide et, comme Jennifer continue de sourire, je poursuis ma lente remontée jusqu’à l’endroit où se trouve son buisson ardent. En chemin, quelle n’est pas ma surprise de rencontrer l’attache d’une jarretelle. — Ton mari est au courant ?— De quoi ?— Que tu portes des bas…— T’es fou, ...