1. Leçons


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, campagne, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, initfh, nature,

    ... nécessaire. Encore une petite heure et j’aurai tout remis en place. En effet, vers trois heures, il revient en souriant. — C’est bon, par contre la carrosserie… Écoute nous allons l’essayer pour plus de sécurité. Tu peux venir Fanny si tu veux. Ils sont partis tous les trois. Frédéric a tout vérifié, tout est en ordre, il est tranquille, elle peut rouler à fond. — Écoute, pour plus de sécurité, je vais y tirer un peu dessus. Mais ne fais pas ça tant qu’elle n’a pas été contrôlée. Et, heureux d’avoir un tel engin entre les mains, il fait une démonstration de virtuosité jusqu’à la maison. Le soir, ils ne sont plus que trois autour de la table. Romain a préféré rentrer, pour faire vérifier son engin. L’atmosphère est beaucoup plus détendue qu’à midi. Catherine est particulièrement heureuse. Quant à Fanny, elle est littéralement subjuguée par Frédéric. — Tu fais des courses ? Tu as un engin spécial ? C’est toi qui le prépares ? Qui t’a appris à conduire ? Les questions fusent en rafale. Il répond en souriant, restant modeste, jubilant en son for intérieur. Catherine estime que maintenant il a encore une démonstration à faire, mais sur un autre registre. Elle invoque une journée chargée pour se retirer et aller se coucher. Un moment encore la jeune fille a questionné son compagnon. Puis ce dernier a invoqué une dure journée, il lui faut aller au lit. Ils se sont levés. Dans le couloir Fanny l’a embrassé, trouvant ses lèvres. C’est le signal attendu par Frédéric. Prenant ...
    ... l’initiative, il pénètre la bouche, lui roule un patin brûlant. Subjuguée, elle perd pied, se demandant si elle rêve. Les mains ne restent pas inactives, ce sont des frôlements, les doigts glissent sous le pull, remontent le long du dos. Inconsciemment, la main féminine a ouvert la porte de sa chambre et entraîné son partenaire. Frédéric se détache, la regarde avec une émotion non feinte. Elle est belle, magnifique. Prenant délicatement le polo, il le remonte, saisit les seins par-dessus le soutien-gorge. C’est une caresse délicate, la main d’un expert appréciant une fine porcelaine. La barrière tombe, Fanny a libéré ses mamelons, voulant un contact plus direct. La bouche vient prendre le relais. Les jambes féminines fléchissent. Assise puis allongée sur le lit, elle attend. Frédéric ouvre le jean, le descend, baisse le dernier voile, découvrant le buisson bien taillé. Quelques instants en admiration, il dépose un baiser dessus. La langue l’humidifie, va-et-vient le long de la faille, arrive au bouton. Et là, lentement, longuement il l’affûte, tournant autour, le faisant vibrer, l’écrasant. Un ronronnement s’échappe de la bouche de la suppliciée. Ses deux mains viennent appuyer sur la tête de son tourmenteur. Elles la saisissent, et un long moment, la promènent, l’agitent, la compriment jusqu’à ce qu’éclate un gémissement de bonheur. Discret, conscient de sa victoire, il la laisse savourer son bonheur. Mais cela ne suffit pas à Fanny. Se redressant elle se dégage de son pantalon, ...
«12...101112...18»