Leçons - Histoires de Sexe

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... de cette méthode. La tension monte et bientôt tout deux sentent venir le dénouement. Humidifiant son doigt au suc qui coule au bas de la fente, Frédéric chatouille la rondelle. Surprise par cette manœuvre, son amie se contracte brutalement et déclenche le feu d’artifice. Ils sont restés quelques instants liés puis ont déclenché la douche. L’eau tiède les a séparés, comme décollés. Catherine les a vus arriver tous deux en peignoir de bains, enlacés. Son air ironique a amusé Frédéric mais vexé sa fille. — Oui, nous avons dormi ensemble et même fait l’amour. Tu es contre ?— Oh non, je t’ai toujours laissée libre, tu es assez grande pour décider de ce que tu dois faire.— Oui, mais cette nuit, j’ai appris pas mal de choses.— J’espère que c’était agréable, lui dit sa mère.— Oui, et je dois t’avouer que pour la première fois, j’ai grimpé aux rideaux comme dit ma copine. Frédéric m’a fait découvrir le plaisir.— Mais ce ne sont que les premières leçons, du moins j’espère, reprend celui-ci. Tu sais, je suis à ta disposition pour parfaire ton éducation.— Salaud, c’est seulement pour prendre ton plaisir. Mais je suis d’accord, je veux que tu m’apprennes tout.— Alors, tu risques d’en avoir pour un moment, lui dit sa mère, parce qu’on n’est jamais totalement au courant, même à mon âge.— Mais ce sera pour une autre fois, car je rentre ce soir, dit Frédéric.— Oh non ! Reste avec nous, tu as quelqu’un qui t’attend ? Tu as promis de tout m’apprendre, reste jusqu’à dimanche !— Ma foi, si ta ...

... mère est d’accord, je reste.— Mais naturellement, reste, fais plaisir à ma fille. Après avoir pris le petit déjeuner, Catherine s’est mise aux fourneaux. Les deux jeunes sont allés chercher le pain au village le plus proche. Fanny a voulu prendre quelques leçons de conduite. Frédéric lui a indiqué les bases, les automatismes nécessaires à une conduite rapide. Et au retour, c’est elle qui a pris le volant. À midi, pendant le repas, Frédéric indique qu’il va profiter de ce repos et ira faire la sieste, autant que possible dans la verdure. — Alors j’en profiterai pour mettre à jour mes cours pour lundi, indique Fanny.— Eh bien je t’indiquerai un coin, au bord de la rivière, où il n’y a jamais personne, dit Catherine à Frédéric. D’ailleurs, je ferai comme toi. Après une rapide vaisselle, tous deux se sont dirigés vers ce paradis. Fanny, dans sa chambre sur son ordinateur portable se met à jour. La végétation protège un coin de prairie ensoleillée juste au bord d’un petit cours d’eau. L’approche en est un peu difficile, mais on découvre un véritable éden. Pourvus de plaids, les deux touristes se sont installés côte à côte. La mère languit de connaître les détails sur l’éducation de sa fille. Faisant la sourde oreille, Frédéric simule une grande fatigue et prend la position du dormeur. Déçue, elle se précipite sur lui et l’empêche de s’assoupir par des procédés licencieux. C’est ce qu’il espérait et attendait. La main féminine a attaqué le point le plus sensible. Lui, a saisi les ...