Leçons - Histoires de Sexe

Leçons

... dit : — Comment fais-tu pour à la fois, crier et me sucer si bien ? Fanny se dégage, laissant apparaître sa mère en pleine action. Frédéric prend un air étonné, ne dit mot. — Hein qu’elle est bonne ma mère ?— Attention Catherine, je vais… Mais cette dernière n’abandonne pas sa tâche et accepte l’offrande qu’elle reçoit. Sa fille est étonnée de voir qu’aucune goutte ne se perd, que tout est avalé, que l’outil est rendu parfaitement propre. — Tu vois, Fanny, ta maman est une vraie experte, elle ne laisse rien perdre.— Mais… maman, tu as tout…— Eh oui, c’est comme cela que font les bonnes maîtresses. Reprenant son rôle de maîtresse de maison, Catherine apporte le plateau. Tous trois sur le lit défait dégustent le petit déjeuner. Fanny voulait surprendre son amant, mais s’aperçoit que c’est elle qui est étonnée. Les deux autres parlent librement de l’amour, elle comprend qu’elle n’est qu’une petite oiselle auprès d’eux. Désirant prendre sa revanche, elle saisit le sexe masculin et le manipule, l’amenant rapidement à un état correct. — Tu ne vas pas me laisser sur ma faim, tu vas voir si je ne suis pas capable de te faire jouir. Et plaquant l’homme sur le lit, elle l’enjambe et vient se ficher sur ce pieu. Elle se lance dans une cavalcade effrénée pour amener Frédéric au septième ciel. Mais c’est elle qui se prend au piège, jouit longuement. Celui-ci déjà comblé reste le membre tendu. — Tu es merveilleuse, mais il faut savoir modérer son entrain, participer avec l’autre, prendre ...

... le plaisir ensemble.— Il faut aussi savoir varier les plaisirs, commente sa mère, tu permets Frédéric ?— Avec joie, s’exclame ce dernier. À son tour Catherine enjambe le garçon, guide le pal vers son cul. Surprise, Fanny voit sa mère s’asseoir sur le bassin. Sans s’agiter, par de simples mouvements de fesses, elle fait monter le plaisir masculin. De temps en temps elle se soulève et redescend lentement. La spectatrice est fascinée par le visage des amants. Ils semblent hypnotisés, ferment les yeux. Soudain, Frédéric se raidit, le corps arqué, puis se détend lentement. Sa maîtresse n’a pas bougé, savourant le jus qui s’écoule en elle. Encore emboîtés, ils basculent sur le côté et s’embrassent passionnément. — Vous êtes merveilleux tous les deux. Mais maintenant, maman, il ne voudra plus de moi.— Mais si, je te veux. Je veux que tu deviennes une femme aussi experte que ta mère, que tu donnes du plaisir à tes amants. Je t’apprendrai tout ce que je sais.— Vous êtes amusants les enfants, mais moi, après cet intermède, je vais me doucher. Ne comptez plus sur moi pour ce genre de divertissement. Les jeunes traînent encore un peu au lit, Frédéric ne peut plus assurer le service. Fanny, pensive, songe aux prouesses que vient de réaliser sa mère et se demande si elle parviendra un jour à l’égaler. Ce qui la rassure, c’est que son ami lui a promis de lui enseigner toutes les subtilités de l’amour. Mais les plus belles choses ont une fin et il a fallu songer à rentrer. Ils n’ont qu’une ...