1. Leçons


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, campagne, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, initfh, nature,

    ... déposé après un baiser très calme. Il a repris son travail, son train-train, mais malgré tout, pense souvent à Catherine, et surtout au service qu’elle lui a demandé. Pendant une semaine, il n’a pas eu de nouvelles, puis, le téléphone a sonné. — Frédéric, c’est Catherine, es-tu libre ce soir ?— Naturellement, je suis toujours disponible pour toi.— Viens à la villa, nous mangerons ensemble j’ai une bonne nouvelle pour toi et je te parlerai de mon projet.— Entendu, avec joie. À la fin de sa journée, c’est avec hâte qu’il s’est préparé pour la soirée. Le bruit du moteur de sa voiture a semblé déclencher l’ouverture de la porte d’entrée. Et dès que le battant s’est refermé, un baiser torride les a unis. Un repas soigné les attendait. Frédéric a apprécié l’attention, mais attendait impatiemment ce que Catherine allait lui proposer. — Fanny, ma fille, nous consacre quelques week-ends, à son père, ou à moi. Mais elle n’apprécie pas beaucoup sa… future belle-mère qui n’est guère plus âgée qu’elle. Il lui semble que son père ne l’aime plus, ce qui est faux naturellement. Jeudi, c’est l’Ascension. Elle doit me rejoindre pour les quatre jours. Je lui ai proposé d’aller à la maison de campagne. Je lui ai raconté l’agression dont j’ai été victime, donc parlé de toi. Elle a été intéressée et a très bien compris que je t’invite pour un jour ou deux. Là, je te laisserai agir.— Oui, mais nous ne sommes pas du même monde et je ne vois pas de quoi nous pourrons parler.— Oh tout simplement de ...
    ... mon aventure. Actuellement, elle est avec un copain qui apprécie la vitesse, tu lui parleras voiture, elle sera intéressée.— Bon, si tu veux. Mais si je ne conquiers pas la fille, je me rabattrai sur la mère.— Jamais de la vie, je ne veux pas qu’elle croie que j’ai un gigolo. Ils ont parlé, ri, mais Frédéric lui a réclamé une avance en nature sur le service qu’il lui allait rendre. Elle a protesté, mais d’une telle manière qu’il a compris que c’était un accord. Il l’a attirée vers lui, la prise à califourchon sur ses genoux. La robe remontée, il a eu l’agréable surprise de ne pas trouver de culotte. Les épaulettes de la robe ont glissé, pas de soutien-gorge non plus. Sa bouche a pu téter ces trésors. De son côté, elle a dégagé l’outil masculin, s’est légèrement soulevée et emmanchée dessus. Suivant sa technique habituelle, elle l’a massé avec ses muscles pelviens. Un long moment ils sont restés apparemment immobiles, chacun appréciant les initiatives de l’autre. Quand il a senti que son désir devenait trop prenant, son pouce est allé se planter brutalement dans la rondelle féminine. Ce choc a provoqué la crispation des muscles de sa maîtresse, l’explosion de Frédéric et simultanément celui de Catherine. La tête sur l’épaule de son amant, elle est restée longtemps immobile, savourant ce moment merveilleux. L’écoulement de leur intimité les a rappelés à la réalité. Pressés de se reposer, ils ont pris une simple douche et les caresses de l’éponge sur les corps ont été un délice, ...
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